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Les moments marquants du Gala de l’ADISQ 2019
Crédit: Facebook ADISQ

C’était la 41e édition du Gala de l’ADISQ ce dimanche et Louis-José Houde était toujours aussi en feu pour sa 14e année à l’animation. De nombreux artistes ont livré des performances, tantôt époustouflantes et tantôt touchantes, qui ont ajouté du rythme à l’humour de l’animateur et aux discours de remerciement.

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Le numéro d’ouverture

Louis-José a commencé fort en revenant sur la controverse de Mario Pelchat l’an dernier, qui était fâché des résultats du Gala, et celle d’Hubert Lenoir, qui avait avalé son trophée sur scène. S’en est suivi une amusante réflexion sur la rançon de la gloire qui a mené à des commentaires sur 2Frères, Sylvain Cossette ou encore Charlotte Cardin.

La performance endiablée de Marie-Mai

La chanteuse, qui a revêtu une perruque noire, a livré un numéro digne des galas américains en étant entourée de danseurs. Tout un contraste avec les performances plus enveloppantes d’Ariane Moffatt et Les Louanges ou encore d’Alexandra Stéliski et Elisapie!

Louis-José Houde qui lit les demandes de FouKi

FouKi a eu une « progression géographique » dans la salle du gala cette année, comme l’a souligné Louis-José en indiquant qu’il avait avancé de 16 rangées, passant ainsi d’artiste au fond de la salle à artiste confortablement installé à l’avant. Maintenant initié au monde du showbiz, il a eu droit à un segment complet, puisque l’humoriste-animateur a lu la liste de ses demandes spéciales lorsqu’il se produit sur scène. Disons que Louis-José Houde ne trouvait pas ça très rap de demander « un plateau de fruits et des grignotines »!

L’hommage à MusiquePlus

Avec Ariane Moffat au piano, Louis-José est revenu sur la fin de MusiquePlus. L’auteure-compositrice-interprète avait d’hilarantes répliques et répondait à toutes les interrogation de son partenaire de scène, y compris quand il a voulu connaître le vrai nom de Babu. Entre Nabi, aujourd’hui chroniqueur culturel au Téléjournal, et Dollaraclip, c’est toute une mine de souvenirs qui a été déterrée, dont l’iconique « Ta gueule, vis ta vie pis reste en vie » que Louis-José a couronné d’un « grignotines ». Le hasard faisant bien les choses, on a demandé aux artistes sur le tapis rouge de nous confier leurs plus beaux souvenirs avec la chaîne de télé!

La présence autochtone

Après la performance d’Elisapie et d’Alexandra Stréliski, le Chef Ghislain Picard et Joséphine Bacon ont présenté la catégorie Artiste autochtone de l’année et plusieurs autochtones sont montés sur scène. Le gagnant, Florent Vollant a conclu ses remerciements avec un message important : « Merci à l’ADISQ de nous avoir fait cette place; soyez sans crainte, on va la prendre. Parce qu’on n'est pas ici juste parce qu'on est autochtones. On est aussi ici parce qu'on est bons. »

L’appel de Pierre Lapointe et celui d’Alexandra Stréliski

Celui qui vient de lancer son album Pour déjouer l’ennui a demandé aux élus présents dans la salle d’agir face aux multinationales qui font affaire au Canada et qui sont exemptes d’impôts, visant entre autres Spotify. De son côté, la pianiste a profité de son discours de remerciement pour le prix d’Auteure-compositrice pour rappeler qu’elle est partie d’une période très sombre pour en arriver là, lançant un message d’espoir à ceux qui vivent des moments difficiles.

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