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Les agriculteurs de L'Amour est dans le pré dévoilent leurs étonnantes passions!
Crédit: Bell Média

Après un premier épisode consacré aux lettres reçues par les agriculteurs, un deuxième épisode consacré au speed dating, puis un troisième épisode consacré, lui aussi, au speed dating, les prétendantes et prétendants de L'Amour est dans le pré débarquaient enfin, ce jeudi, sur la ferme de nos agriculteurs préférés. Voici donc ce qui a retenu notre attention dans ce quatrième épisode.

Marc-Antoine et Martin ont tous les deux eu l'idée de clore la visite guidée de leur ferme avec une petite surprise : des chatons tout mignons, dans le cas de Marc-Antoine, et une vache avec un nerf coincé en train d'agoniser par terre, du côté de chez Martin. Des choix différents, mais tout aussi valables.

L'astucieuse Josée a sciemment choisi de dire à Denis « quand on va être ensemble, on fera de la randonnée », plutôt que « si on est ensemble, on fera de la randonnée », afin de bloquer, par le pouvoir des mots, la possibilité qu’elle ne soit éliminée. Pauvre Denis, piégé par une conjonction de subordination.

Autant Martin que Denis avaient préparé des paquets cadeaux pour leurs prétendantes. Ceux de Martin contenaient « des petits chocolats, des petites chandelles » et ceux de Denis, un t-shirt rouge accompagné de sacs de chips. Avec des beaux cadeaux comme ça, on se croirait à Blablabla.

Alex a dévoilé deux de ses passions : la littérature (il fait même partie d'un club de lecture!) et l'Angleterre (essentiellement à cause de Harry Potter). Il s’avère qu’HollywoodPQ est lui-même un aficionado de littérature britannique. Nous faisons donc à Alex les prescriptions littéraires suivantes pour ses prochaines réunions : Loot de Joe Orton et les sonnets de Shakespeare (mais uniquement ceux à teneur homoérotique, où Shakespeare s’adresse à son twink, ou plutôt à son « fair youth », comme on disait dans le temps).

Ah, Shakespeare, l’Angleterre... Nous comprenons bien l'amour d'Alex pour ce pays. En fait, HollywoodPQ s’y sentirait à sa place comme nulle part ailleurs (à l’exception de son cher Québec, bien sûr). C’est que, voyez-vous, là-bas, potinage et dérision sont des pratiques non seulement acceptées, mais valorisées. Il s’agit ni plus ni moins que d’un trait définitoire du peuple britannique, comme en témoigne notamment la dernière scène de la pièce d’Alan Bennett Kafka’s Dick — une autre œuvre parfaite pour le club de lecture d'Alex (qui devrait franchement considérer nous y inviter)!

God save gossip!

God save the queen!

God save L'Amour est dans le pré!

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