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Une pétition pour l’élimination de Charles d’OD Chez nous voit le jour
Crédit: Bell Média

Charles d’OD Chez nous continue de faire des vagues! Il semble bien que le « leader positif » autoproclamé continue de perdre des points auprès du public à un tel point qu’une personne a senti l’obligation de lancer une pétition pour le déloger de la compétition.

 

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On doit le dire, l’instigateur de cette initiative est loin d’être allé avec le dos de la cuillère en décrivant les raisons qui l’ont poussé à démarrer la pétition. Même le titre de celle-ci est sans détour. « Élimination de Charles d’OD », peut-on en effet lire sur la page.

La première raison se rapporte à sa mauvaise cote de popularité, pour ne pas dire que « toutes les téléspectatrices et tous les téléspectateurs d’Occupation double détestent le personnage de Charles », comme il est inscrit dans la pétition. C’est aussi la manie de ce dernier de vouloir tout contrôler, et donc passer pour un genre de « père », « coach de vie » ou encore « soldat », qui est déplorée.

Toujours selon la pétition, les autres candidats se porteraient mieux sans la présence de Charles Montigny, qui semble vouloir agir comme le « juge de l’authenticité » des couples, pour reprendre les mots de Renaud.

« En raison de son comportement condescendant à l’égard des autres candidats.es et de sa présence nuisible dans l’aventure, Charles doit être éliminé dans les plus prompts délais », se termine finalement la demande pour le moins sans équivoque.

Au moment d’écrire ses lignes, seulement 817 personnes ont signé la pétition. Il serait donc fort surprenant que la production de la téléréalité n’agisse en sa faveur, surtout quand on pense que de telles pétitions ont déjà été lancées par le passé sans qu’aucune action n’en résulte (comme pour Joanie d’OD Bali ou pour faire cesser l’intimidation à OD Afrique du Sud). Il faut également garder en tête que les tournages ont lieu trois semaines avant les diffusions.

Par ailleurs, la production s’est permis de modérer les réseaux sociaux de Charles à cause de commentaires désobligeants qui apparaissaient sous ses publications.

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