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Si on s’aimait: Jennifer nous fait languir avant de changer de partenaire
Crédit: Facebook Si on s'aimait

On attendait cette rupture pratiquement depuis le premier épisode de Si on s’aimait, le nouveau docu-réalité de TVA. Le match entre Jennifer et Mike venait tout droit de Satan. Le supplice est finalement fini, pour eux comme pour les téléspectateurs, puisque la paire s’est ENFIN séparée dans l’épisode de lundi. Ciao, bye, débarrassés. La jeune cinquantenaire peut maintenant poursuivre son histoire d’amour avec Casper, son chien avec qui elle fait des appels vidéo en travaillant.

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On a donc dit adieu à Mike, qui a officiellement quitté l’émission, mais pas sa recherche de la perle rare (avis aux intéressées!). De son côté, Jennifer a apparemment encore quelques croûtes à manger avant de se relancer dans sa quête amoureuse et la première étape était une séance de magasinage entre copines sur l’avenue Laurier Ouest (ka-shing!). Peut-être est-ce l’achat de luxueux sous-vêtements sensuels ou bien sa libération après avoir flushé son partenaire, mais le fait est qu’elle s’est lancée dans une série de confidences étonnantes même pour ses amies proches. La veuve n’a pas perdu que son mari, mais aussi un autre amoureux alors qu’elle n’avait que 20 ans. Crise d’asthme, le coeur a lâché, mort à 27 ans. « Je méritais pas d'être aimée »; c’est ça, sa conclusion suite à ces deux deuils.

Après avoir découvert cet autre fragment de l’histoire de Jennifer, Louise Sigouin, la sexologue de l’émission, lui a proposé dans le troisième et dernier épisode de la semaine d’écrire une lettre à son défunt mari (un des quatre Paul qu’elle a fréquenté avant de faire une écoeurantite du prénom). Pour la spécialiste des relations interpersonnelles, il est « impossible » pour Jennifer de trouver l’amour, même si l’homme de ses rêves était à deux pouces de sa face, tant qu’elle n’aura pas retiré un à un ses multiples barrages. Attitude défaitiste? Pas mal. Mais à voir comment la principale intéressée est farouche, ce n’est pas si fou que ça.

Tout de même, on espère que la célibataire trouve son deuxième partenaire dès la semaine prochaine. Après tout, c’est pour ça qu’on suit son parcours, pas pour la voir jouer avec pitou. On nous a amplement laissés languir dans les derniers épisodes, on a donc franchement hâte que la machine reparte. Amenez-en, des nouvelles dualités!

Pour Fanny et Anyck, l’homme au prénom étonnant, ce sont les premiers bisous qui se font attendre. Oui, il trouve qu’elle parle « comme un truckeur » et oui, leur niveau d’énergie et leur débit de parole sont seulement les mêmes quand le coach de football est en boisson, mais leur chimie avec les enfants de l’autre est belle à voir et, surtout, Fanny a su répondre à une question d’Anyck que personne n’a comprise à part elle (« Est-ce que tu penses plus que deux personnes qui s’unissent forment un couple ou que deux personnes entières qui s’unissent créent un couple? »). À défaut d’être de l’amour, c’est au moins signe qu’ils sont (un peu) sur la même longueur d’onde.

C’est aussi le cas pour Jonathan et Marie-Ève, qui, malgré qu’ils considèrent tous les deux que leurs discussions et leur relation ne vont pas en profondeur, sont convaincus qu’ils veulent poursuivre l’aventure ensemble pour continuer d’explorer leur couple. Tant qu’ils ne mangent plus jamais un gâteau dans le bain, ça nous va, parce que cette scène était aussi répugnante que la chambre à thématique aquatique dans l’auberge où ils ont passé leur séjour en amoureux. C’est pas peu dire. Par ailleurs, Marie-Ève s’est ouverte sur son enfance marquée par l’intimidation, ce qui a permis de mieux comprendre sa timidité. À voir si Jonathan saura la faire sortir de sa coquille.

Le couple le plus solide de Si on s’aimait, c’est bien sûr celui des commentateurs, Émily Bégin et Guillaume Lemay-Thivierge, qui deviennent de plus en plus drôles et naturels dans leur rôle au fil des épisodes. Mais quand le comédien dit à la blague que le pain est sec en avalant un grissini, on a juste envie de demander à Louise Sigouin quelle dualité elle observe ici. La bouffe italienne versus le reste du monde, peut-être?
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