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Faillite pour Louis Garneau: Caroline Néron commente l’affaire et se remémore des moments difficiles

C’était au tour de l’entreprise familiale de l’ancien athlète olympien Louis Garneau de se mettre sous la protection de la Loi sur la faillite ce mardi. Avec plus de 32 millions de dettes, l’homme d’affaires était ému aux larmes lorsqu’il est venu le temps d’annoncer la nouvelle aux médias. Une situation et des émotions plus que similaires à ce qu’a vécu Caroline Néron.

« Je trouve ça très triste pour lui, mais son histoire me rappelle la mienne. Comme une personne qui refait face à son bourreau, ses bourreaux… », a écrit Caroline Néron sur ses réseaux sociaux en précisant qu’elle a appris la nouvelle par son ancien mari, Jean-Marc Gagné, qui est aussi le père de sa fille Emmanuelle.

En vacances sous le soleil au moment de la recevoir, la femme d’affaires n’a pas pu s’empêcher de retourner à sa chambre d’hôtel pour pleurer, les cicatrices de sa propre faillite étant encore bien fraîches : « J'avais besoin de dégager… Mais je reste forte, pour elle [Emmanuelle], pour moi! »

Caroline Néron, qui est en train de travailler sur une nouvelle entreprise de bijoux, avoue que le milieu de la vente au détail va mal et qu’il faut une peau épaisse pour se lancer en affaire, particulièrement si vous êtes une femme : « on m'a traitée comme une voleuse, une niaiseuse, une conne comme dirait mon dernier propriétaire de bureau parce que j'ai fait faillite… Être une femme en affaire est encore définitivement un défi supérieur à cause de tous ces préjugés ».

Ce qui est ironique aux yeux de Caroline Néron, c’est que l’acharnement des médias sur son cas serait venu d’une femme, une journaliste qui n’aurait pas cessé de semer le doute et aurait participé à l’échec du redressement de son entreprise : « Triste à dire, c'est une journaliste qui aura été la plus dure avec moi. D'ailleurs, elle n'a jamais servi le même traitement à tous ceux qui auront eu droit à un article sur le même sujet… Appeler mes fournisseurs, mes plus gros clients, mes employés. Semer le doute partout autour de moi, alors que je me battais pour redresser mon entreprise. Eh bien, elle aura réussi!! Ma relance après ma proposition n'aura pas fonctionné, trop tard! Les rumeurs et les articles à profusion m'auront mise en faillite avant même de l'être vraiment! »

Son plus grand regret dans tout cela, c’est de ne pas s’être écoutée davantage. « Trop souvent, j'ai voulu parler, mais on m'a déconseillé, je me retiens donc. Mais j'écris un livre présentement, ou plutôt je raconte en détail mon histoire à une ghostwriter (qui ne restera pas ghost puisque je ne veux pas prétendre faire quelque chose que je ne fais pas). Ce sera sans aucun doute ma plus belle thérapie, un message d'espoir, comme quoi la vie est bien faite. »

On a bien hâte de pouvoir parcourir les pages de sa biographie qui illustrera sans aucun doute son parcours de lionne!

 

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Psst : Avant de partir en vacances avec sa fille, Caroline a fait un arrêt à la Berlinale pour présenter le film La déesse des mouches à feu dans lequel elle joue! Le film a d’ailleurs été bien accueilli!

 

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Bonheur quoi. Regardez l'énergie de bonheur collectif de malade.

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On souhaite de belles vacances à Caroline et sa fille!

 

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Happy her…happy me!👩‍👧❤️🙌🏻🙌🏻🙌🏻🙌🏻 #cancun #motherdaughter #love

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