C’est avec beaucoup de joie que nous avons appris, dimanche soir, en direct de Tout le monde en parle, que Stéphane Rousseau allait être de retour au grand écran, et pas pour n’importe quel film! Un nouveau projet qui explique d’ailleurs son nouveau look avec une barbe.
C’est pour le deuxième long métrage de Yan England, Sam, que l’humoriste, animateur, acteur et peintre renouera avec le jeu, tel que nous l’avons appris lors de son entrevue à la populaire émission dominicale animée par Guy A. Lepage et Dany Turcotte. Stéphane a dévoilé qu’il y tiendra un rôle touchant aux côtés de Mylène Mackay et Antoine Olivier Pilon (que l’on a pu voir dans le premier film de Yan, 1 : 54, sorti en 2016), entre autres.
Ce que l’on sait? Sam, coécrit avec André Gulluni, sera un thriller psychologique sportif et Stéphane y incarnera un professeur de journalisme victime d’un grand drame. Celui-ci se rapprochera d'un étudiant et athlète de haut niveau de 22 ans (Antoine Olivier Pilon), qui connaîtra lui aussi des bouleversements dans sa vie personnelle.
Malheureusement, le tournage du film produit par Cinémaginaire a dû être interrompu neuf jours avant le dernier clap, pour des raisons que l’on connaît tous. « C'est très déchirant quand ça arrive, un truc comme ça, parce qu'on y met tellement notre cœur », a-t-il exprimé à Guy A. Lepage. « Je pense à Yan, et André aussi, qui ont travaillé très fort là-dessus. C’est tellement bien écrit! Moi, quand j’ai lu ce scénario-là, je n’étais pas capable de le raconter à ma blonde tellement que ça venait me chercher et que j’étais ému », a ajouté Stéphane, qui s’est démarqué au cinéma dans Les invasions barbares, Astérix aux Jeux olympiques et Le vrai du faux.
Ça promet d’être une fois de plus un grand succès! Pour visionner l’entrevue complète de l’artiste à Tout le monde en parle, c’est ICI!
Psst : Dernièrement, Stéphane Rousseau fait aussi jaser avec ses capsules loufoques partagées sur les réseaux sociaux en ces temps de confinement. Chaque semaine, il publie des vidéos, toutes plus délurées les unes que les autres, dans lesquelles il personnifie une impressionnante galerie de personnages. Son fils de 11 ans l'accompagne notamment dans ses délires, en étant derrière la caméra.