
Curieuse, l’animatrice n’a pas manqué de l’interroger sur son choix de partir après neuf ans, se demandant pourquoi il n’avait pas attendu d’atteindre un chiffre plus symbolique, comme dix ans, avant de quitter son poste.
D’autant plus que, vu tout ce qui se passe avec Donald Trump et Justin Trudeau, une niche satirique que Simon Olivier Fecteau a adoré explorer au fil des ans, il aurait eu encore matière à s’amuser pour une autre édition du Bye Bye.
«(…) Je sais que le dix aurait été un bon chiffre en termes de marketing (…)», affirme-t-il, tout en avouant que son désir de se lancer dans de nouveaux projets était plus fort que l’envie d’atteindre le cap des dix ans.
Il reconnaît que son successeur aura énormément de matière pour concevoir le prochain Bye Bye, compte tenu de l’actualité politique et économique particulièrement riche cette année.
Un peu plus tard dans l’entrevue, Sophie Durocher lui a demandé si, au fil des années, son mandat avait été plus éprouvant sur le plan mental ou psychologique.
«(…) C’est difficile psychologiquement, c’est le stress qui est le pire (…) peu importe ce que tu fais, tu te fais critiquer d’un bord ou de l’autre (…) cette émission-là, c’est pareil comme faire de la politique (…) c’est épuisant. Cette année, moi, j’ai fait, pendant deux semaines, de l’arythmie suite au Bye Bye, juste à digérer et ça faisait neuf ans donc en principe, je suis habitué, mais on ne s’en sort pas (…)», dévoile-t-il à la grande surprise de l’animatrice.

«(…) En 2019, 2020, je me suis ramassé à l’hôpital, mon système digestif a comme cessé de fonctionner (…) c’est un gros show, ce n’est pas simple (…)», raconte-t-il, expliquant toutefois que ce n’est pas nécessairement pour cette raison qu’il quitte.
Après avoir questionné son invité sur les fois où il aurait pu aller trop loin dans ses blagues et s’il avait déjà ressenti un malaise en recroisant les principaux intéressés, l’animatrice a poursuivi en lui demandant quel serait le sujet d’un gag à son propos, si l’équipe du prochain Bye Bye devait en faire un.
«(…) mes publications Facebook n’ont pas toujours été à la hauteur (rires) de ce qu’on pourrait s’attendre de quelqu’un dans ma position (…)», lance-t-il, suivi de Sophie qui lui demande s’il fait référence à des propos qu’il a tenus sur Elon Musk.
«(…) Ce n’était comme vraiment pas un post nécessaire, mais je pense que j’ai été cavalier un peu dans les dernières années (…)», avoue-t-il, expliquant qu’en tant qu’artiste, donner son opinion passe rarement aussi bien que lorsqu’elle vient d’un journaliste. Selon lui, cela devient vite inutile, car au final, cela ne fait qu’alimenter de la négativité sans véritable impact.
Après avoir fait un récapitulatif des événements et des propos tenus par Fecteau à l’égard de Elon Musk, Sophie Durocher lui a demandé s’il trouverait amusant qu’une blague sur ce sujet se retrouve dans le prochain Bye Bye.

«(…) Si jamais on m’imite d’une quelconque façon que ce soit, je vais être honoré. Peu importe à quel point c’est chien ou pas chien, ou peu importe, je vais l’accueillir avec amour, je trouve ça vraiment le fun (…)», affirme-t-il, tout en avouant qu’il doute que cette histoire soit suffisamment marquante pour se tailler une place dans la revue de fin d’année.
«(…) Je pense que la plus grosse gaffe là-dedans, c’est d’avoir semblé défendre Elon Musk, qui si jamais moi il se passe de quoi, il ne me défendra jamais dans 100 ans (…) quelle mauvaise idée (…)», lance-t-il, affirmant qu’il n’a pas de Tesla et qu’il ne prévoit absolument pas en avoir.
Ces dernières années à la tête de ce projet d’envergure auront certainement été marquantes pour Fecteau. Nous lui souhaitons donc beaucoup de repos et du succès dans ses futurs projets!
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