C’est en mai prochain qu’on pourra renouer avec Si on s’aimait pour une deuxième saison sur les ondes de TVA. Toujours au volant du docu-réalité amoureux, le couple de Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin reprendra son rôle de commentateurs, alors que la sexologue Louise Sigouin guidera les candidats et candidates dans leur quête amoureuse.
À environ trois mois de la diffusion du premier épisode, le Journal de Montréal nous apprend qu’une troisième saison est déjà dans les plans de TVA. Qui plus est, les enregistrements sont prévus pour le printemps prochain et la période de recrutement est officiellement lancée ce mardi!
La productrice et conceptrice du format, Anne Boyer, s’est d’ailleurs confiée au journal en indiquant que l’émission était plus que jamais à la recherche d’une distribution diversifiée : « On cherche des participants de tous âges, de toutes origines, de toutes orientations sexuelles ».
À l’automne dernier, Guillaume Lemay-Thivierge avait laissé entendre qu’il pourrait y avoir un candidat ou une candidate homosexuel.le dans la deuxième saison. Un fait confirmé par Anne Boyer, qui a cependant admis qu’aucun participant racisé n’avait envoyé sa candidature pour la nouvelle mouture. Elle demeure toutefois confiante que la tendance pourrait changer avec l’annonce d’une troisième saison.
De passage à Salut Bonjour ce matin, Émily Bégin a de son côté donné quelques détails sur ce qui nous attend pour la deuxième saison qui est sur le point de clore ses tournages.
« Vous allez adorer la saison deux. Écoutez, Guillaume et moi, on a ri, on a pleuré. Les participants sont tellement généreux. T’sais, on rentre dans leur vie privée, en thérapie, dans leur maison. Et Louise Sigouin est aussi pertinente chaque fois », a-t-elle dit avec grand enthousiasme.
« On a deux couples hétérosexuels et un couple homosexuel. Je ne veux pas dire trop de punchs parce que je veux vous laisser regarder l’émission, mais vraiment, c’est délicieux! », a-t-elle ajouté.
Elle invite d’ailleurs les gens à la recherche de l’amour et qui souhaitent briser ses « mauvais patterns » amoureux de s’inscrire. Pour le faire, c’est ici.