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Mélanie Maynard se confie sur les deux chirurgies esthétiques qu’elle a subies
Crédit: Serge Cloutier

À quel point adore-t-on Mélanie Maynard? Si vous n’étiez pas encore certains, l’animatrice et comédienne nous a de nouveau prouvé pourquoi lors de son passage à Deux filles le matin, ce mardi. Présente à l’émission avec Alicia Moffet et Varda Étienne, Mélanie Maynard a dévoilé sans gêne et surtout avec beaucoup d’humour les deux chirurgies esthétiques qu’elle a subies au cours de sa vie.

C’est d’abord son nez qui est passé sous le bistouri au début de sa carrière. Alors qu’elle devait subir une simple intervention pour un décloisonnement nasal, le médecin lui a également offert de lui retirer la bosse qu’elle avait sur le nez. Elle a accepté son offre comme c’était un complexe qui l’habitait depuis son plus jeune âge.

Bien entendu, son explication nous a fait mourir de rire : « J’avais une bosse sur le nez et je n’ai pas beaucoup de menton, si bien que de côté, j’avais l’air d’un triangle. J’étais très aérodynamique, je courais très vite ».

Puis, après sa deuxième grossesse, Mélanie Maynard a refait ses seins.

« Pour moi, c’était comme une espèce de deuil que je n’étais pas capable de faire, parce que j’avais vraiment un beau sein, les gens venaient de partout pour les voir », a-t-elle expliqué avec toujours beaucoup d’humour.

C’est donc dans l’optique de retrouver cet amour pour son corps qu’elle a choisi de subir la chirurgie.

« Après le deuxième accouchement, j’ai fait : »Voyons donc, ça ne se peut pas! J’allaite, je suis dans une chambre et le bébé est dans l’autre chambre. Alors, mon Dieu, remets-moi tout ça en place» », a-t-elle ensuite renchéri à la blague.

« J’avais besoin de m’aimer nue. C’est beau avec du linge et une bonne brassière, mais ça m’a vraiment aidée dans mon estime de moi », a-t-elle finalement conclu.

Un témoignage qui a certainement résonné avec Alicia Moffet, qui a subi une réduction mammaire. La chanteuse est même en nomination à la quatrième édition de la Soirée Mammouth pour avoir ouvertement parlé de ce sujet encore tabou.

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