Ce jeudi, à L'Amour est dans le pré, nos agriculteurs préférés choisissaient les prétendantes et LE prétendant qui auront la chance de les accueillir dans leur ville au cours des prochains épisodes.
Denis a ainsi éliminé Nathalie, et ira visiter Ève et Josée. Martin a éliminé Lydia, et ira visiter Audrey et Émilie. Julien a éliminé Audrey, et ira visiter Alyssia et Chloé. Alex a éliminé à la fois Pier-Luc et Samuel, et ne visitera donc que David, de qui il dit être en train de tomber amoureux. Quant à Marc-Antoine, il ira, bien sûr, visiter Anne et Alexa, Marie-Pier étant partie d'elle-même une journée à l'avance.
Les informations factuelles maintenant évacuées, passons aux observations intéressantes.
En ouverture, Katherine Levac a mis au défi les téléspectateurs et téléspectatrices de ne pas pleurer durant cette émission. Bébé lala : nous ne sommes même pas passés proche. Par contre, du côté de chez Alex, qui se sentait coupable d'exclure et Pier-Luc et Samuel, ça pleurait beaucoup, beaucoup. Visiblement, malgré son amour pour l'Angleterre, Alex n'est pas un adepte du stoïcisme britannique. En tout cas, si jamais ça l'intéresse, nous serions disposés à lui enseigner l'art du stiff upper lip, et il pourrait, lui, nous apprendre à pleurer — comme dans le film Thoroughbreds.
Émilie a dit à Martin qu'elle était contente d'avoir persisté jusqu'au bout de l'aventure malgré les difficultés rencontrées durant les premiers jours. Nous avons beau avoir écouté tous les précédents épisodes avec la vigilance scrupuleuse du chroniqueur culturel rémunéré, nous n'avons aucun souvenir de l'incident auquel elle fait référence. Note à la production : mieux faire les petits récapitulatifs de début d'émission, merci infiniment par avance.
Que sont devenus les enfants de Denis? On les a vus au premier épisode, mais plus jamais ensuite. On aurait bien aimé qu'ils participent au choix de leur belle-mère. Aussi, parlant du premier épisode, nous avions omis de le mentionner dans notre résumé, mais Denis y avait désigné la copine de Tristan, son fils de 16 ans, comme étant la « conjointe » de ce dernier. À 16 ans. Seigneur.
La semaine prochaine, nos agriculteurs rejoindront leurs prétendantes et leur prétendant dans la grande ville, probablement accompagnés — de ce que nous comprenons des moeurs paysannes — par leur grand-mère assise dans une chaise berçante attachée à l'arrière du pick-up.