Invitée à passer un week-end en campagne avec Alexandre Barrette, Jacques Rougeau et Jean-Philippe Dion, Julie Bélanger rayonnait de toute sa lumière au petit écran dimanche soir. La belle animatrice s'est ouverte avec une lucidité désarmante sur son passé et son présent à La vraie nature.

Celle qu'on peut voir chaque vendredi soir à la coanimation de Ça finit bien la semaine s'est entre autres confiée sur une période plus sombre de sa vie. Malgré son fort sens de l'organisation (à en écrire des plans de vie régulièrement!) et son manque de popularité au secondaire, Julie n'aura pas été à l'abri d'un burn-out, dû à l'accumulation de plusieurs facteurs à l'arrivée de la trentaine.

« C'était une période de ma vie... J'avais 33 ans. Je me trouvais laide, je me trouvais vieille, je me voyais dans un miroir et je me donnais vraiment un discours épouvantable. [...] Pendant ces mois-là, il y a des mois que je me disais qu'il fallait que j'aille payer mes comptes... et je ne savais pas comment faire pour sortir de chez moi. Je n'étais pas capable. Là, il fallait que j'aille en thérapie et que j'apprenne à m'aimer », a-t-elle raconté.

En effet, Julie s'était ouverte sur le sujet en 2016 dans un de ses billets, détaillant quelque peu cette phase très difficile. « On se déconstruit pour mieux se construire. Je pense que je me suis vraiment recentrée sur qui j'étais profondément », a-t-elle finalement souligné en abordant la thérapie qu'elle a suivie. Jean-Philippe l'a alors interrogée sur sa confiance en elle actuelle : « Aujourd'hui, j'ai réussi à accepter qui je suis et à me donner de l'amour ».

On est sincèrement heureux pour la belle animatrice radio et on lui souhaite le meilleur pour les années à venir! Pour visionner l'épisode de dimanche soir à nouveau, rendez-vous juste ici!

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