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José Gaudet: «J’ai été trop payé les cinq dernières»
Crédit Capture YouTube @Hugo Girard Sans Limite/Courtoisie

Dans le cadre du podcast Hugo Girard Sans Limite, José Gaudet a visité le garage d’Hugo Girard pour un échange (presque) sans filtre, où le sujet délicat du salaire de l’humoriste a été abordé.

«(…) Je n’ai pas été assez payé les huit, neuf, dix premières années de ma carrière, et j’ai été trop payé les cinq dernières de cette carrière en duo (…)», déclare l’invité.

«Ça se balance-tu ?», demande Hugo.

«Non (…) je suis encore perdant (…)», confirme José.

Hugo en a donc conclu que le duo avait été particulièrement lucratif.

«Aaahhhhahaha, *sti, dans les grosses années où ils vendaient de la pub, c’est malade! Je sais ce qu’ils m’ont donné pour revenir dans un contexte où la pub avait déjà commencé à se vendre moins. C’est malade, mais c’est correct, parce que je ne me suis jamais senti mal de mes cinq dernières années (…)», lance-t-il, avant d’être interrompu par Hugo, curieux de connaître un chiffre précis sur ce qu’on avait tiré de leur duo.

Capture YouTube @Hugo Girard Sans Limite

«Ce n’est pas profité, c’était leur business (…) C’est en millions, qu’ils ont bénéficié des Grandes Gueules? Ah cr*sse, c’est en millions, c’est en dizaines de millions (…)», avoue la star.

L’animateur a ensuite demandé combien ils leur donnaient par année, à cette époque-là.

«Mon premier contrat… Stéphane Rousseau, avant nous autres, avait gagné des centaines de milliers de dollars. Nous autres, on gagnait 35 000$ (…)», révèle-t-il, surprenant Hugo et jurant sur la tête de ses enfants pour confirmer la véracité de ses propos.

Après plusieurs efforts pour obtenir des hausses salariales et la création d’un spectacle stratégique qui a renforcé leur position, leur rémunération a connu une ascension fulgurante.

Plus tard dans la conversation, Hugo lui a demandé quel avait été son plus gros salaire durant ces années-là.

«(…) Je ne suis pas à l’aise de te le dire (…) Je ne suis pas à l’aise parce que les gens ne comprendraient pas comment ça peut arriver, et il y aurait du jugement. Et ils ne comprennent pas non plus tous les sacrifices, les impôts et les taxes qui viennent avec ça. Tu sais, je veux dire, les gens te regardent et ils ne réalisent pas ce que ça coûte en impôts (…)», explique-t-il, affirmant avoir fait sa part.

Pour conclure, José a évoqué l’idée que le gouvernement pourrait offrir des crédits d’impôt à la retraite, comme façon de rétablir un certain équilibre pour les artistes.

Une discussion franche autour d’un sujet encore tabou: l’argent. Un échange qui pousse à la réflexion.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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