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Georges Laraque se confie sur son combat contre la COVID-19 [VIDÉO]

Plus tôt cette semaine, l’ancien joueur de hockey professionnel Georges Laraque annonçait qu’il était atteint de la COVID-19, mais aussi hospitalisé, les symptômes étant particulièrement puissants chez le sportif, qui est aussi asthmatique. Sur Facebook, au cours du week-end, l’ancien membre des Canadiens de Montréal s’est confié à cœur ouvert à ses abonnés en direct de l’Hôpital Charles-LeMoyne de Longueuil (où il se repose et se fait soigner depuis maintenant quatre jours) sur son dur combat contre le virus.

Alors qu’il s’entraînait récemment pour un marathon, le végétalien de 43 ans affirme qu’il était en pleine forme avant que son état de santé ne se détériore rapidement la semaine dernière. On remarque d’ailleurs dans ses deux vidéos publiées sur ses réseaux sociaux, particulièrement celle de samedi, que la COVID-19 est très féroce chez Laraque, alors qu’il éprouve parfois de la difficulté à terminer une phrase sans tousser.

En effet, si vous étiez sceptiques, soyez assurés que le coronavirus n’est pas une petite « grippette ». Georges Laraque confirme que c’est très difficile et douloureux. Le virus lui a d’ailleurs provoqué des pneumonies dans les deux poumons et il pense être hospitalisé « un bon bout de temps ». L’athlète ne croyait vraiment pas être aussi affecté : « Je pensais, un peu comme tout le monde, que j’étais invincible, que ça n’allait jamais m’arriver. »

Dans sa première vidéo, le sportif a également tenu à remercier sincèrement le personnel soignant, en première ligne durant cette pandémie mondiale. « Je veux remercier tout le personnel, les infirmiers, les docteurs, tous les gens qui sont ici et prêtent main-forte », a-t-il exprimé en soulignant qu’il était entre de bonnes mains.

Ce dimanche, dans sa deuxième vidéo en direct, Georges Laraque a voulu rassurer ses fans sur son état de santé, assurant qu’il était « sur le bon chemin », en plus de critiquer la décision du gouvernement québécois d’entamer le retour en classes dans les écoles de la province. Il a notamment confié qu’il était heureux que ses deux enfants soient à Edmonton avec leur mère, où l’école a été suspendue jusqu’à septembre, au moins.

Il a également raconté qu’il a été très difficile pour lui de passer un test de dépistage pour la COVID-19, malgré le fait qu’il présentait tous les symptômes et qu’il pouvait mettre des gens à risque, faisant l’épicerie pour des personnes âgées au cours des dernières semaines. Ses témoignages sont assez intéressants, mais surtout pertinents pour les Québécois et Québécoises.

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