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Entrevue Érik Caouette: La touchante raison de sa participation à Chanteurs masqués et l'importance de la famille
Crédit: Courtoisie/TVA/ Bertrand Exertier

«La surprise a été brûlée quelques semaines avant le début des tournages!»

Nous avons eu la chance de nous entretenir avec Érik Caouette du groupe 2Frères en marge de son passage à l'émission Chanteurs masqués.

Celui qui se cachait dans le costume de l'agent 00-Pingouin se confiait à nous sur la raison très touchante de sa participation, sur ses beaux projets à venir et sur l'importance de la famille.

HollywoodPQ: Comment as-tu trouvé ton expérience?

Érik Caouette: «Bien, honnêtement, on s'entend que c'est assez loin de tout ce que j'ai fait à date en carrière! J'ai bien apprécié ces moments-là, l'équipe était vraiment sympathique. C'était vraiment amusant à faire.»

Le chanteur a cependant eu une petite déception en ce qui concerne sa participation, puisque la surprise qu'il réservait à sa fille a été exposée plus rapidement qu'il ne l'aurait voulu!

ÉC: «Honnêtement, j'ai accepté de faire ça à la base parce que ma fille, ma plus vieille, Glorianne, est une grande fan de l'émission. Elle n'en a pas manqué une. Je trouvais ça le fun de lui faire une surprise en participant. Puis, malheureusement, la surprise a été brûlée quelques semaines avant le début des tournages! Je parlais avec mon gérant au téléphone sur le haut-parleur. Ma fille était à côté de moi, puis il a parlé de Chanteurs masqués. Le but de l'appel n'était pas ça, mais il m'a glissé un mot sur Chanteurs masqués, ça fait que ma fille, elle a entendu!»

Bien qu'il aurait préféré que ce soit une surprise, cette aventure est devenue un secret père-fille!

ÉC: «C'est devenu notre secret finalement. Elle m'appelait après mes performances. Parce que souvent, le dimanche, elle est chez sa mère (...) Donc, elle m'appelait, puis on parlait de ma performance et tout ça. C'était comme un moment qu'on avait à nous autres (...) Elle était vraiment contente que je participe à l'émission.»

HPQ: Aurais-tu aimé rester plus longtemps?

ÉC: «J'ai trouvé que ça avait duré le bon nombre de temps, parce qu'au moment des tournages j'avais beaucoup de spectacles aussi. Ça me faisait vraiment de grosses semaines très chargées. Je n'avais plus beaucoup de temps pour moi et ma famille. Quand je suis sorti de l'aventure, j'ai considéré que j'avais fait le tour et que je m'étais bien amusé!»

Sa garde rapprochée était elle aussi au courant de sa participation, puisqu'au départ l'invitation avait été lancée à lui et Sonny, son frère.

HPQ: «Mon frère n'avait pas le choix d'être au courant, parce qu'ils ont fait la demande pour avoir l'un des deux. Ça aurait pu être Sonny aussi, mais Sonny, ça lui tentait moins de faire ça. Puis, moi, comme ma fille était fan, on a décidé que ça allait être moi qui allais le faire!»

Il nous dévoilait par ailleurs que d'autres chansons avaient été enregistrées en studio dans le cas où il serait resté plus longtemps, dont entre autres Happy de Pharrell Williams et Sunglasses at Night de Corey Hart.

Dans un autre ordre d'idée, les fans des 2Frères ne risquent pas de s'ennuyer grâce aux beaux projets qui s'en viennent pour eux!

ÉC: «On a une tournée en solo, bien en duo en fait! Parce que la tournée s'appelle 2Frères en solo. Mais, c'est une tournée qu'on fait jusqu'à l'été prochain prochain! Ensuite, on va faire des festivals avec notre band. Il y a un album qui va se préparer à travers tout ça.»

HPQ: Comment ça se passe de toujours marier travail-famille?

ÉC: «Bien, honnêtement, ça va, parce que ce n'est pas si achalandé notre horaire. On a toujours des moments pour respirer. On a toujours des vacances de planifiées. On s'arrange pour ne pas se brûler. Puis, pour pouvoir passer des moments en famille.»

HPQ: «C'est important la famille.»

ÉC: «Oui, absolument. Puis, à une certaine époque, on brûlait la chandelle par les deux bouts. On ne se reposait pas, on n'arrêtait jamais. Puis, on l'a senti aussi. C'est drôle à dire, mais c'est la pandémie qui nous a appris à arrêter. Parce qu'on n'a pas eu le choix d'arrêter (...)»

HPQ: En terminant, que peut-on te souhaiter?

ÉC: C'est bien, bien cliché, mais de la santé. De pouvoir profiter de la vie, faire le métier que j'aime. Puis prendre soin de ma famille.

Un moment fort sympathique, on remercie Érik!

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