
Cette année, préparez-vous à vivre une aventure encore plus intense puisque, pour sa troisième saison, Sortez-moi d’ici! passe à 90 minutes et les épreuves promettent d’être plus corsées que jamais.
Animée par Rosalie Vaillancourt et Guy Jodoin, l’émission vous plonge une fois de plus au cœur de la jungle. Et cette saison, c’est au tour de Jean-Michel Anctil, Sonia Vachon, Marc-Antoine Dequoy, Chloée Deblois, Naadei Lyonnais, Kim Rusk, Brigitte Lafleur, Pascal Morrissette et Gino Chouinard de tester leurs limites.
Avant de les voir atterrir en plein milieu de la jungle le dimanche 13 avril à 19h30, les vedettes vous dévoilent quel type de campeurs ils sont!.
Brigitte Lafleur

«J’ai aucune qualité utile pour faire ça. Heille, vraiment, pour vrai, je suis juste de la bouette. Mais en fait, je pense que je vais être capable de faire du gruau. Je pense que je vais être capable d’être amicale. Fait que, des fois, pour le moral, je vais peut-être pouvoir aider les gens en déprime… mais je risque d’être moi-même en déprime aussi. C’est tout sauf moi qu’il fallait qu’il vienne ici.»
Jean-Michel Anctil

«J’ai hâte d’arriver sur le camp. J’ai hâte de rencontrer les autres campeurs, parce qu’eux sont déjà là et moi, j’arrive un petit peu plus tard. Je pense que je vais avoir un bel accueil — je le souhaite. Moi, dans la vie, j’aime jouer. Donc je vais être rassembleuse, pis je vais vouloir faire des jeux. Peut-être que je vais taper sur les nerfs du monde […]. Je veux fabriquer des jeux. Je veux faire un jeu d’échecs, je veux faire un jeu de Mölkky, et je suis quelqu’un qui joue des tours — donc c’est certain qu’il y a des campeurs qui vont goûter à ma médecine. […] Je cuisine un peu, je veux m’occuper du feu, et je veux rassurer ceux qui vont avoir peur… comme moi, dans les défis […].»
Marc-Antoine Dequoy

«J’aimerais quand même ça suivre quelqu’un qui sait comment faire à manger avec des animaux que j’ai jamais cuisinés. Ça fait que s’il y a un chef, je vais le suivre […]. Je ne pense pas tant que les gens vont me gosser. Si je me connais, je pense que je vais gosser les gens. Vous allez découvrir que ça se peut que je me laisse traîner.»
Gino Chouinard

«La première nuit dans la jungle, on m’a dit que c’était terrible. Les animaux vivent la nuit pendant que nous, on veut dormir — et c’est bruyant, des animaux dans la jungle. Alors j’appréhende… comme les 21 dernières années de ma vie professionnelle: une nuit presque blanche. […] J’ai tellement été dans un cadre professionnel, rigoureux, organisé, structuré — que je contrôlais — et là, je suis complètement à l’opposé de ça. C’est comme si ma vie professionnelle venait d’éclater, pis que je devais faire tout ce qui est différent. J’espère être un bon gars d’équipe. C’est ça qui me ferait plaisir.»
Sonia Vachon

«Moi, mon objectif personnel, c’était en tout premier lieu d’avoir du plaisir. Le privilège de pouvoir vivre cette expérience-là, à mon âge […] Moi, j’ai toujours eu l’impression d’être un grand livre ouvert, et qu’il n’y a plus grand-chose à découvrir sur moi. Mon côté plus fonceuse, que les gens ont moins vu… c’est sûr que moi, là, je suis là pour encourager. Moi, je suis quelqu’un qui voit toujours la vie du bon côté […]»
Pascal Morrissette

«J’ai très hâte de quitter ce confort. J’ai hâte de me salir, j’ai hâte de me faire piquer — pis ce plaisir-là devrait durer un bon 32 secondes… pis après, on le vivra. Il y a une chose qui est évidente: si j’ai des nouvelles de mes enfants […] je vais craquer. Fait que ça, ça va être le côté le plus difficile — de ne pas voir ma famille, ma femme et mes deux enfants. La plus grande difficulté que j’aurai à surmonter, ce n’est pas la nourriture. C’est plus au niveau des épreuves que ça va se passer.»
Naadei Lyonnais

«Mon pire cauchemar dans la jungle serait d’avoir le lit en dessous de quelqu’un qui ronfle […] Être coupée du monde extérieur — y’a-tu quelque chose de plus le fun? Y’a-tu quelque chose de plus reposant? Prenez-le, mon cell. Prenez-le, mon ordi. J’en ai vraiment pas besoin, en fait. Je me considère assez courageuse en général… mais il y a certaines affaires que c’est non, là. »
Chloée Deblois

«Ma première nuit dans la jungle, je l’appréhende vraiment. Je vais être sur l’adrénaline, je vais trouver ça le fun — comme lorsqu’il y avait un exercice de feu à l’école […] Pis après ça, je vais sûrement souffrir. Ma plus grande crainte, c’est de manquer de sommeil, parce que moi, je suis très neuf heures de sommeil par nuit. Pis je le sais que je vais sûrement dormir une heure. Pour l’aventure, j’étais pleine de bonnes intentions: je voulais courir des marathons, me mettre en forme, arrêter le café. Je me suis achetée du café décaf. pis finalement, avant de partir, j’ai jamais autant bu de café que dans les dernières semaines […]»
Kim Rusk

«L’idée d’être coupée du monde extérieur ne m’effraie pas tant que ça. Au contraire, je vois ça comme un pèlerinage. Le fait de ne pas avoir mon téléphone, de ne pas être entourée des gens qui sont mes repères dans la vie, pour moi, c’est extrêmement challengeant, mais en même temps, hyper enrichissant — je le sais. Par contre, de ne pas savoir qui sont ces gens, de ne pas savoir où je m’en vais, c’est ça qui me stresse le plus. Mon pire cauchemar dans la jungle serait définitivement une tornade. Tu sais, une affaire pas possible, un truc de météo qui arrive, ou je ne sais quoi, pis on est pognés là […]»