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Simon-Olivier Fecteau: «Il m’a diagnostiqué schizophrène»
Crédit: Capture YouTube @Prends Un Break

Invité au podcast Prends Un Break, Simon-Olivier Fecteau s’est livré avec franchise sur plusieurs aspects de sa vie, abordant entre autres sa relation amoureuse actuelle et un marquant diagnostic qu’il a reçu lorsqu’il était plus jeune.

Il a révélé avoir traversé une période marquée par l’anxiété, aggravée par un diagnostic médical inexact qui l’a profondément ébranlé.

«(…) Première crise d’anxiété, j’avais 17 ans (…) Avec mes amis, on commençait à fumer du pot, et une fois, on a fumé beaucoup de pot et j’ai eu, pour la première fois de ma vie, une crise d’anxiété (…)», raconte-t-il, en précisant qu’à l’époque, sans internet pour se renseigner, il avait l’impression de devenir fou.

«(…) Les crises d’anxiété ont commencé à ce moment-là, et ça revient de temps en temps. Dans ma tête, je suis comme: Ok, je suis en train de perdre la tête. Je n’osais pas en parler à personne, je pensais que j’étais vraiment comme un cas. Je suis allé voir un médecin, et le médecin m’a mal diagnostiqué. Il m’a diagnostiqué schizophrène, méga grosse erreur (…) parce qu’il m’a donné une pilule qui m’a fait avoir des hallucinations (…)», affirme Simon-Olivier.

«(…) Hallucinations de ne pas savoir j’étais qui. Pas d’entendre des voix, mais plus des trucs visuels, et plus des pensées vraiment weird, complètement étranges, pendant une nuit que j’ai pris une seule de ces pilules-là (…)», ajoute le réalisateur.

Capture YouTube @Prends Un Break

«Il m’a diagnostiqué schizophrène, j’ai eu des médicaments de schizophrène pendant un an, j’ai perdu un an complet de ma vie (…)», soutient-il, en expliquant qu’à ce moment-là, il se disait que sa vie était finie.

Après un an, il a décidé d’arrêter la médication, jugeant que cela n’avait plus de sens pour lui. L’anxiété est alors revenue. Pendant plusieurs années, il a tenté différentes approches, essayant plusieurs types de médicaments. Ce n’est qu’après avoir apporté des changements à sa routine de vie que les symptômes se sont tranquillement estompés.

«(…) J’ai juste su, comme 10 ans ou 12 ans après, ce que j’avais eu, qui était de l’anxiété (…)», témoigne-t-il.

Ce témoignage met en lumière le fait qu’à l’époque, l’anxiété était bien moins connue et rarement identifiée correctement.

L’anxiété fait-elle partie de votre réalité?

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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