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Sarah-Maude Beauchesne lance un message percutant Ă  La semaine des 4 Julie
Crédit Instagram de Sarah-Maude Beauchesne

Mercredi dernier, Ă  l’émission La semaine des 4 Julie, la scĂ©nariste, autrice et comĂ©dienne, Sarah-Maude Beauchesne a lancĂ© un message qui a fait trembler la scĂšne, ainsi que Julie Snyder.

Sarah-Maude Beauchesne, qui est actuellement en tournage de la saison trois de Fourchette, discutait avec Julie Snyder, Mariana Mazza et Jenny d’OD Dans l’Ouest. L’autrice et scĂ©nariste engagĂ©e a fait une chronique dans laquelle elle mentionne vouloir parler de sujets inconfortables, mais nĂ©cessaires.

Rappelons que Beauchesne est l’une des 20 collaboratrices et collaborateurs de cette saison de l’émission La semaine des 4 Julie.

Dans sa chronique de mercredi dernier, l’autrice de Au lac d’amour a Ă©branlĂ© le public avec son histoire:

« J’ai Ă©tĂ© mannequin dans mon adolescence dans les annĂ©es 2000, oĂč ĂȘtre mannequin voulait dire : ĂȘtre un cintre et ne pas avoir de voix. Moi, c’était mon rĂȘve de petite fille. J’ai signĂ© mon contrat de mannequin Ă  16 ans. C’était ma plus grande fiertĂ©. Mais, c’est lĂ  que toutes mes insĂ©curitĂ©s hyper insidieuses ont commencĂ© parce qu’on m’a dit rapidement qu’il fallait que je m’entraĂźne, que je perde du poids. Je mesure 5’10 Â» et demi et pesait 110 lbs. [
] Moi, je pensais juste que j’étais jolie parce que j’avais un rĂȘve, mais c’était pas assez. Lors de mon premier shooting photo, la mannequin s’est Ă©vanouie parce que ça faisait 48 h qu’elle n’avait pas mangĂ© ».

Elle a par la suite ajoutĂ© que dans sa carriĂšre de mannequin, on lui a demandĂ© d’apprendre a se faire prendre en photo en cachant son nez, car ce dernier Ă©tait, selon l’agence, « un problĂšme ».

Mariana Mazza et Julie Snyder ont renchĂ©ri avec des anecdotes de leurs expĂ©riences personnelles et sur les gens qui jugent sans cesse leur apparence physique. Les femmes ont mĂȘme participĂ© Ă  un exercice oĂč elles se prononçaient sur le poids de leur expĂ©rience et leurs valeurs, Ă  la place de leurs poids physique.

Qui sommes-nous pour juger l’extĂ©rieur, alors que ces femmes tentent constamment de changer les rĂšgles, spĂ©cialement dans l’industrie du divertissement ?

Nous, on leur dit merci!

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