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Sarah-Maude Beauchesne lance un message percutant à La semaine des 4 Julie

Mercredi dernier, à l’émission La semaine des 4 Julie, la scénariste, autrice et comédienne, Sarah-Maude Beauchesne a lancé un message qui a fait trembler la scène, ainsi que Julie Snyder.

Sarah-Maude Beauchesne, qui est actuellement en tournage de la saison trois de Fourchette, discutait avec Julie Snyder, Mariana Mazza et Jenny d’OD Dans l’Ouest. L’autrice et scénariste engagée a fait une chronique dans laquelle elle mentionne vouloir parler de sujets inconfortables, mais nécessaires.

Rappelons que Beauchesne est l’une des 20 collaboratrices et collaborateurs de cette saison de l’émission La semaine des 4 Julie.

Dans sa chronique de mercredi dernier, l’autrice de Au lac d’amour a ébranlé le public avec son histoire:

« J’ai été mannequin dans mon adolescence dans les années 2000, où être mannequin voulait dire : être un cintre et ne pas avoir de voix. Moi, c’était mon rêve de petite fille. J’ai signé mon contrat de mannequin à 16 ans. C’était ma plus grande fierté. Mais, c’est là que toutes mes insécurités hyper insidieuses ont commencé parce qu’on m’a dit rapidement qu’il fallait que je m’entraîne, que je perde du poids. Je mesure 5’10» et demi et pesait 110 lbs. […] Moi, je pensais juste que j’étais jolie parce que j’avais un rêve, mais c’était pas assez. Lors de mon premier shooting photo, la mannequin s’est évanouie parce que ça faisait 48 h qu’elle n’avait pas mangé ».

Elle a par la suite ajouté que dans sa carrière de mannequin, on lui a demandé d’apprendre a se faire prendre en photo en cachant son nez, car ce dernier était, selon l’agence, « un problème ».

Mariana Mazza et Julie Snyder ont renchéri avec des anecdotes de leurs expériences personnelles et sur les gens qui jugent sans cesse leur apparence physique. Les femmes ont même participé à un exercice où elles se prononçaient sur le poids de leur expérience et leurs valeurs, à la place de leurs poids physique.

Qui sommes-nous pour juger l’extérieur, alors que ces femmes tentent constamment de changer les règles, spécialement dans l’industrie du divertissement ?

Nous, on leur dit merci!

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