De passage à Sucré Salé mardi soir, l’humoriste Sam Breton a abordé l’importance de rester lui-même dans le milieu artistique québécois. Il en a également profité pour parler de la dernière année qui a été particulièrement intense, tant à cause de la pandémie que des dénonciations.
Sam Breton est passé de l’humoriste découverte de l’année au Gala les Olivier en 2019 à l’humoriste de l’année en 2021. C’est tout un exploit et c’est surtout amplement mérité. Celui qui collabore occasionnellement à l’émission de radio de Jay Du Temple, son ami de longue date, a abordé la célébrité et l’importance de rester soi-même avec Patrice Bélanger.
« Les gens des fois […] me complimentent de ça. Moi, ça me fait comme un non-sens des fois, parce que je retourne chez nous, je marche dans la rue, pis j’suis comme : «Ben y’a rien de plus simple dans vie que de rester soi-même, bout de viarge!» On me complimente pour ça […] Souvent on va dire ça en humour, «on veut la couleur de l’humoriste», mais on veut la couleur de n’importe qui dans la vie. […] On passe juste une fois, aussi bien être vrai tout de suite! », lance-t-il.
Dans son discours de remerciement au dernier Gala les Olivier, Sam Breton a également abordé les complexités de la dernière année, les bons coups et les moins bons, et Patrice Bélanger lui a demandé à quoi il faisait référence exactement.
« Je faisais allusion à Julien Lacroix, particulièrement, à toutes ces dénonciations-là […] L’humour, c’est une famille. Comme dans une famille, il y a toujours des choses qui ne marchent pas toujours rondement […] je trouvais ça important de ne pas faire semblant qu’il ne s’était rien passé dans l’année », admet-il.
De temps en temps, on peut entendre l’hilarant Sam Breton en tant qu’invité à Jay l’été sur Rouge et on pourra également le voir en tant que juge cet automne dans la toute nouvelle émission animée par Guillaume Lemay-Thivierge à TVA, Chanteurs masqués.
Pour voir l’entrevue dans son intégralité, c’est par ici!