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Sabrina Cournoyer: «Mon complexe, c’est mon pattern amoureux»
Crédit: Capture YouTube @Tout le monde s'haït

Sabrina Cournoyer était de passage au podcast Tout le monde s’haït, un épisode où elle s’est ouverte sur ses complexes, comme le veut le principe du balado.

Vers la fin de l’épisode, la chroniqueuse, qui est célibataire et âgée de 37 ans, a avoué qu’un des côté négatifs de vieillir est qu’il lui reste de moins en moins de temps à passer avec un être cher.

«(…) Je trouve que la vie va trop vite (…) j’ai le goût de bâtir une vie avec quelqu’un aussi, je suis encore célibataire, je trouve que ce côté-là de ma vie, qui est un autre de mes complexes, je ne sais pas ça va être quoi l’issue et là, je vois le temps avancer et je suis comme: C’est plate, c’est plein d’années que je n’aurai pas passées avec quelqu’un à avoir des projets (…)», explique-t-elle.

Un peu plus tard, Sabrina est revenue sur ce complexe, qu’elle estime en être un sur ses patterns amoureux… et elle a développé davantage sur le sujet.

«(…) En fait, mon complexe, c’est mon pattern amoureux d’attirer à moi, vraiment uniquement des garçons qui sont non disponibles émotionnellement (…)», affirmait-elle, en regardant tout droit vers la caméra, le sourire aux lèvres.

Capture YouTube @Tout le monde s’haït

L’animatrice a alors dit qu’elle vivait la même chose qu’elle et on est certains qu’elles ne sont pas les seules!

Capture YouTube @Tout le monde s’haït

«(…) Ce n’est pas des salauds, non. Ce n’est pas des pas fins. Je veux juste mettre ça au clair, ce n’est pas des pas fins, c’est (…) non disponible émotionnellement (…)», ajoute Sabrina Cournoyer.

Elle a ensuite ajouté qu’un pattern vient de soi-même et a expliqué que depuis toujours, elle cherche une validation qu’elle n’est pas capable de se servir à elle-même.

«(…) Je cherche une validation extérieure et cette validation extérieure, on dirait que (…) j’ai l’impression qu’il faut se battre pour obtenir l’approbation des autres et qu’il faut se battre pour obtenir l’amour des autres (…)», lance-t-elle, en expliquant que, souvent, lorsqu’elle rencontre des hommes sur qui elle capote, quand les choses commencent à devenir sérieuses et profondes, ils se referment comme des huîtres.

«(…) C’est à ce moment-là que je vais me faire servir le: Hey, finalement, je ne suis pas prêt à offrir plus, je pense que je ne suis pas rendu-là, je pensais que j’étais prêt, finalement… je ne suis pas prêt, tu es une personne extraordinaire, mais je ne pourrai pas faire plus (…) et c’est comme s’il y a des fois où je me suis obstinée et tant mieux, j’ai changé, mais je me suis obstinée à faire: Ah ben non, c’est correct, je vais prendre ce que tu me donnes (…)», étant consciente que ce n’est pas bien d’accepter des «miettes de temps» et d’être dans des situations compliquées et peu claires.

Elle a ensuite affirmé qu’elle avait réalisé qu’elle avait longtemps accepté ça puisqu’elle pensait que c’était un combat et que c’est c’était ce qu’elle méritait.

Sabrina confie d’ailleurs que sa dernière année de fréquentations a été composée de situations compliquées, comme elle l’a décrit, et qu’elle avait ensuite récemment réalisé qu’il fallait quitter la relation lorsque l’autre personne donne des signaux de réticence à la place de se battre pour la convaincre d’être avec elle.

C’est toutefois un pattern duquel elle a de la misère à se défaire.

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