Skip to content
Rudy Caya s’excuse après ses propos sur Donald Trump
Crédit Capture ICI Télé

Le chanteur de Vilain Pingouin, Rudy Caya, a récemment tenu des propos à l’égard du président des États-Unis, Donald Trump, lors du dernier Super Bowl.

Comme le rapporte Le Journal de Montréal, c’est sur sa page Facebook qu’il aurait suggéré que Trump devrait mourir, un message qu’il a visiblement choisi d’effacer.

Rudy s’est exprimé à nouveau sur le sujet sur les réseaux sociaux, cette fois pour présenter ses excuses à ceux qu’il aurait choqués ou blessés par ses écrits. Il explique que ses propos avaient pour but de faire un jeu de mots, qui n’a visiblement pas eu l’effet escompté.

«Dimanche, j’ai voulu faire un jeu de mots, qui a clairement « raté sa cible ». Avec raison, vous y avez perçu de la violence… j’ai pris conscience de l’ampleur des passions qui m’habitent. Je suis contre la peine de mort; je ne souhaite la mort de personne, mais j’assume que mes propos ont suggéré l’inverse. À vouloir trop gagner, on finit par se perdre. Oui, j’ai peur pour notre bien-être collectif. Une chose est certaine, on doit exclure la violence des solutions, même si parfois, le désespoir nous pousse à cette violence. J’ai réfléchi à mes responsabilités, en tant qu’artiste engagé, et sur des manières plus « lumineuses » de faire bouger les choses», débutait-il, dévoilant avoir été poussé par la peur.

Il explique ensuite comprendre pourquoi il a reçu des messages de violence, ayant lui-même initié cette situation de haine, bien que ce soit déplorable.

«J’en ai déçus plusieurs, désolé: la violence entraine la violence. Je ne me placerai pas en position de victime et je vais assumer la violence qui m’est revenue en boomerang. C’est tout. C’est plate, mais je comprends pourquoi. On ne changera pas le passé. Maintenant, c’est à moi d’être plus inspiré/inspirant et de me servir de ma plume et de ma tête pour faire ce que j’ai toujours su faire: essayer de faire bouger les choses et d’apporter un peu d’espoir. Maintenant, si vous avez des choses à me dire, c’est le temps. Je vais les lire avec beaucoup d’humilité. Vous avez besoin de me rentrer dedans? GO! Vous ne taperez pas sur un gars à terre: je suis encore debout et bien solide. La cloche a sonné, la vie suit son cours. Bonjour et passez une bonne journée.»

Suite à ce message, plusieurs de ses abonnés lui ont pardonné et se rangent derrière lui.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

Plus de contenu