Louis Morissette a fait une brève apparition sur le plateau du talk-show de son ami Jean-Philippe Wauthier, où il a évoqué leur podcast Entre La Poire et le Fromage ainsi leur deux prochains épisodes qui seront devant public.
Cependant, l’animateur de Bonsoir Bonsoir ne l’a pas laissé partir sans évoquer la visite spéciale qu’il a reçue lors d’une représentation de son one-man-show, Sous Pression, soit celle de l’une de ses idoles, Mario Lemieux.
«Il est très impressionnant quand même (…) Tu sais que je considère Mario comme le meilleur joueur à avoir enfilé des patins (…) C’est quand même très impressionnant de le voir arriver, surtout que tout le long, je savais qu’il était dans la salle (…) Et là, j’arrivais à des affaires et je me disais: Il n’a aucune référence, ça fait 40 ans qu’il est parti du Québec. Il ne sait pas c’est qui, un tel un tel, un tel», confie Morissette sur ce moment unique!
Un spectacle que l’ancienne star du hockey semble toutefois avoir grandement apprécié.
«Il m’a dit: Non, effectivement, mais n’empêche que ce que tu racontes sur le temps qui passe, puis comment il faut faire attention à nous. Ça l’a touché, ça l’a fait rire. Puis, évidemment tout le monde le regardait, ma famille était là et il faisait juste regarder Mario Lemieux (…)», ajoute Louis, visiblement comblé par ce moment.
De plus, son fils Justin, qui assure la première partie du spectacle et qui est un grand fan des Penguins de Pittsburgh, n’a pas manqué l’occasion de rencontrer Mario, s’assurant même que l’organisation et les actionnaires des Penguins fassent bien leur travail!
«Mario est arrivé dans la loge et il (Justin) a fait: OK, je m’excuse, mais qu’est-ce qui se passe avec Sidney Crosby. Comment ça se fait qu’il n’a pas encore signé son extension (…) le camp d’entraînement arrive (…) Il a fait comme: Fais-toi en pas Justin, il veut rester, on va régler ça! Il a dit comme: Ouin, je n’aime pas ça, je n’aime pas ça. Je voudrais que ça soit déjà réglé», raconte Morissette en décrivant bien la fougue, l’entrain et la belle naïveté de la jeunesse démontrés par son fils.
«C’était quand même un beau moment», termine l’homme aux multiples talents.