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Normand D’Amour s’ouvre sur ses problèmes de colère: «Me cogner la tête sur le bord d’une armoire, je coupais l’armoire, je déc*lissais l’armoire»
Crédit Capture YouTube @Le Temps D'une Mousse

Normand D’Amour était de passage au balado Le Temps d’une Mousse, animé par Adamo Marinacci, que vous avez peut-être connu dans le cadre d’Occupation Double, où il a abordé plusieurs sujets fascinants, notamment son passé marqué par des problèmes de colère.

Peu après le début du podcast, l’animateur a directement interpellé Normand sur le sujet, affirmant que ce dernier avait travaillé sur sa colère, car il avait un tempérament colérique.

«(…) Je suis un gars extrêmement colérique (…)», a-t-il lancé, avant d’être interrompu par Adamo, qui lui a aussitôt demandé s’il l’était toujours.

Question à laquelle le comédien qui interprète Pascal St-Cyr dans STAT a répondu qu’il ne l’était plus, du moins pas comme il l’avait été par le passé.

«(…) J’ai toujours été ce volcan, j’ai toujours eu un volcan à l’intérieur de moi. Maintenant, le volcan est toujours là, mais, je suis entièrement capable de contrôler mes émotions et ce n’est plus lui qui me gère, c’est moi qui le gère», témoigne-t-il.

Curieux, Adamo a rebondi en demandant à son invité ce que signifiait être colérique pour lui et il a ajouté que, dans un autre contexte, en sa présence, il n’avait pas perçu de colère chez lui.

Normand a alors précisé qu’une personne colérique n’est pas nécessairement en colère en tout temps et a ensuite illustré son propos en partageant des exemples où sa colère avait été excessive.

«(…) je pouvais juste me cogner la tête sur le bord d’une armoire, je coupais l’armoire, je déc*lissais l’armoire au complet (…) ce n’est plus du tout ça. J’échappe un oeuf par terre, je poignais la douzaine d’oeufs et je la lançais au bout de mes bras (…)», dévoile-t-il, expliquant que dès qu’il sentait qu’il perdait le contrôle, ses émotions prenaient le dessus et tout basculait.

Capture YouTube @Le Temps D’une Mousse

«(…) Je suis très content d’avoir pu régler ça, parce que moi, je pense que je serais mort aujourd’hui, d’une crise cardiaque ou quoi que ce soit. Je me suis sauvé la vie (…)», continue-t-il, affirmant n’avoir jamais consulté, mais ayant toujours su qu’il avait un problème.

C’est en ayant des enfants que le problème lui a éclaté au visage, le forçant à y faire face et à le régler, Normand étant père de deux enfants prénommés Marguerite et Lancelot.

Félicitations à lui d’avoir fait preuve d’introspection et d’avoir pris en main son problème.

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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