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Monia Chokri devient la porte-parole des 38es Rendez-vous Québec Cinéma
Crédit: Serge Cloutier

Monia Chokri aura connu toute une année avec son tout premier long métrage La femme de mon frère, qui lui a valu le Coup de cœur du jury dans la sélection Un certain regard au dernier Festival de Cannes. Déjà en train de plancher sur plusieurs nouveaux projets cinématographiques, l’artiste multidisciplinaire devient aussi porte-parole des 38es Rendez-vous Québec Cinéma pour l’année 2020. Elle qui avait fait tourner bien des têtes avec sa magnifique robe fleurie au dernier tapis rouge du Gala Québec Cinéma fera ainsi rayonner le cinéma d’ici.

« C’est avec enthousiasme et honneur que je serai porte-parole des RVQC cette année. Encore une fois, la programmation est riche et diversifiée. Elle démontre à quel point, depuis quelques années, notre cinéma est fort et en pleine ascension. Célébrons l’art, c’est notre identité et les cinéastes d’ici sont désormais de grands ambassadeurs à l’étranger. Ils témoignent de la force et du dynamisme de notre culture », a-t-elle affirmé via un communiqué.

C’est une ambassadrice on ne peut plus parfaite, quand on pense à son curriculum artistique qui foisonne de rôles plus marquants les uns que les autres, et ce, dans tous les médiums. On n’a qu’à penser à son personnage de Magalie dans la série télé Nouvelle Adresse, ou bien de Stéfanie dans le film de Xavier Dolan, Laurence Anyways. C’est exactement pourquoi elle a été choisie. « Monia Chokri est devenue en quelques années seulement l’un des visages incontournables de nos grands et petits écrans. Sa fougue, son intelligence, sa vivacité et son immense talent incarnent à merveille les Rendez-vous et s’appliquent parfaitement à notre cinéma. C’est donc avec grand plaisir que nous l’accueillons à titre de porte-parole pour cette 38e édition! », a indiqué la directrice du festival, Myriam D’Arcy.

Aucun doute que Monia Chokri fera perdurer la mission des Rendez-vous Québec Cinéma, soit d’amener le public québécois à consommer toujours et plus de notre culture si unique.

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