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Mike Ward: «Ils ne m'ont pas agressé»
Mike Ward se retrouvait sur le plateau de Tout le monde en parle afin de parler de son tout nouveau one-man-show, Modeste.

C'est dans le cadre de son passage au rendez-vous télévisuel dominical par excellence que l'humoriste est revenu sur l'épisode retiré en compagnie de Guillaume Latendresse et Maxim Lapierre. Ces derniers ont en effet posé des gestes largement discutables et qui pourraient être considérés comme une agression physique, mais pour Mike Ward, il n'en est rien.

«(...) Guillaume Latendresse et Maxim Lapierre, de La poche bleue, étaient tes invités. Et tu as retiré l'épisode quelques heures après sa diffusion, ça a fait beaucoup réagir. Toi tu as dit que ce sont eux qui te l'ont demandé. Il y a eu des moments malaisants là-dedans (...) Il y a des internautes qui ont dit que tu aurais été intimidé, ce que toi tu as nié (...) Les deux gars se sont excusés par voie de communiqué (...) Est-ce que les gars de La poche ont oui ou non dépassé les limites de ta propre poche?», demande le meneur de TLMEP, Guy A. Lepage.

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«Bien, moi, les gars... j'avais l'impression... c'était comme un party (...) Des fois dans un party, il y a du monde qui l'échappe. Tu es avec une matante ou un mononcle et ils sont dans ta bulle. Puis, c'est ça le feeling que j'avais, les gars l'ont juste échappé, ils étaient gossants (...)», explique d'abord Mike Ward.

«Selon la chroniqueuse de La Presse Nathalie Collard, les gestes de Lapierre et Latendresse ressemblent à une agression et il faut dénoncer ces comportements-là et non les minimiser au nom de l'humour ou de l'alcool. Es-tu d'accord avec elle?», veut ensuite savoir l'animateur.

«Bien, moi, c'était pas une agression, ils ne m'ont pas agressé. Puis, là, tu sais, d'essayer de faire comme si c'était une agression...c'était deux gosseux. On a tous des chums que sur la brosse, ils te touchent et te tapent sur les nerfs. C'était vraiment juste ça. C'était deux ost* de gosseux», ajoute Mike Ward.

Alexandre Barette, présent à titre de coanimateur, soulignait toutefois le fait que si les mêmes gestes avaient été posés sur une femme, on aurait parlé d'une agression sexuelle.

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