Aller au contenu
Megan Lalonde condamnée à 45 jours de prison
Crédit: Instagram @meg_lalo

Celle qui aimait se faire appeler la fausse avocate TikTok, ou encore la fausse vraie avocate pref’ du Québec, Megan Lalonde, serait condamnée à purger une peine de 45 jours en prison.

Selon ce que rapporte le journal local, La nouvelle union, la jeune femme qui se trouvait au palais de justice de Victoriaville le 16 août 2024 aurait plaidé coupable à deux chefs d’accusation.

Dans un premier temps, l’accusée âgée de 24 ans aurait plaidé coupable d’avoir fraudé un montant d’une valeur de moins de 5000$ en septembre 2021.

Retour sur les événements

La jeune femme aurait mis une annonce en ligne sur Marketplace dans laquelle elle mentionnait vendre une piscine.

Après s’être entendu avec la «vendeuse», le plaignant lui aurait fait un premier versement d’une somme de 500$ dans le but d’obtenir la piscine en question.

Lalonde aurait ensuite déposé l’argent dans son compte bancaire et n’aurait plus donné aucune nouvelle au plaignant qui n’aurait plus jamais revu la couleur de son argent.

Deuxième accusation

Elle aurait aussi plaidé coupable à un chef d’accusation pour avoir entravé le travail d’un policier lors de son arrestation survenue le 30 juillet 2024.

Celle qui était visée par un mandat d’arrestation pour ne pas s’être présentée en cour, dans le cadre d’un autre dossier de fraude, aurait menti sur son identité lorsque des policiers de Blainville ont procédé à son arrestation.

La vraie Megan

Ayant eu la possibilité de s’exprimer, Megan aurait affirmé à la cour que son séjour en prison lui aura été bénéfique puisqu’il lui aurait permis de «retrouver la vraie Megan».

Sortie de prison

Toujours selon La nouvelle union, une fois sortie de prison, la jeune femme sera en probation pendant une durée de 18 mois, dont 12 avec un suivi probatoire.

Elle aura d’ailleurs un an pour rembourser son vol d’une valeur de 500$ au plaignant et il lui sera interdit de communiquer avec celui-ci.

Lalonde n’aura pas, non plus, le droit posséder des cartes et documents bancaires qui ne sont pas libellés à son nom.

Mise en garde

Le juge Simon Ricard aurait tenu à la mettre en garde que si elle s’avisait de récidiver, la peine d’emprisonnement serait plus sévère!

Plus de contenu