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Maripier Morin: «Je me sens comme une mère de m*rde»
Crédit Capture TikTok @Rythme105.7

Récemment, Maripier Morin et Marie-Ève Janvier se sont livrées, sans filtre, sur leur rôle de mère alors qu’elles étaient au micro de leur émission Les filles du lunch.

Avec une sincérité désarmante, elles ont levé le voile sur les défis parfois lourds de la parentalité, brisant l’image parfaite souvent véhiculée. Fatigue, charge mentale et pression sociale: rien n’a été laissé sous silence dans cette discussion qui a probablement résonné auprès de bien des parents.

«(…) J’ai l’impression que, des fois, c’est difficile de ressentir la satisfaction en tant que parent, et ça vient du fait qu’on ne se sent peut-être pas à la hauteur tout le temps, et c’est vraiment quelque chose qui, moi, vient m’ébranler (…)», déclare Maripier Morin, qui admet être perfectionniste et aimer exceller.

«(…) Avec mon chum (Jean-Philippe Perras), on vit un clash en ce moment, on a une espèce de dualité parentale (…)», a-t-elle affirmé, expliquant que son copain lui avait récemment lancé la phrase qui la déclenche, soit celle disant qu’ils n’ont pas eu des enfants pour les faire garder.

Avec leur horaire chargé, Maripier explique que leurs beaux-parents les aident énormément avec les enfants. Cependant, ne voulant pas abuser de cette précieuse aide, elle a offert à son amoureux la possibilité d’engager quelqu’un pour les épauler dans la routine du soir.

«(…) JP a dit: Mais moi, je n’ai pas ce besoin-là (…)», raconte-t-elle, affirmant que son copain lui avait répondu qu’il allait le vivre, mais que leur routine ne serait peut-être pas aussi militaire qu’à l’habitude.

«(…) Mais moi, ça fait en sorte que je me sens comme une mère de m*rde. Je ne me sens pas à la hauteur de la situation, parce que lui, il a l’air d’être en contrôle et moi, on dirait qu’il manque quelque chose. Donc, je suis comme: Mais je suis donc bien pas bonne! Je me sens pas bonne (…)», témoigne-t-elle avec émotion, en guise de cri du coeur.

Capture TikTok @Rythme105.7

Marie-Ève lui a ensuite expliqué avec bienveillance qu’elle n’était pas la seule à ressentir cela et que sa volonté d’aller chercher de l’aide démontrait, au contraire, à quel point elle était une maman formidable.

«(…) Je suis pognée avec les trois kids à la maison et j’ai l’impression que je vais tilter. Ce week-end, j’ai mis ma casquette et mon manteau, je suis sortie et je suis allée marcher en braillant. Je ne l’ai dit à personne, et je braillais dans le quartier: Ce n’est pas la vie que j’ai choisie, ce n’est pas ça, ce n’est pas ça… (…)», témoigne à son tour Marie-Ève, qui confie avoir elle aussi eu besoin d’aide, son copain étant souvent en tournée ou occupé à s’éclater avec ses amis.

Les deux animatrices ont ensuite affirmé que la plupart des mamans n’osent pas parler de cette réalité, par crainte de paraître faibles ou moins compétentes.

«(…) Je pense qu’il va falloir que je trouve la bonne façon de le verbaliser à mon chum, parce que… c’est toutes mes insécurités à moi. (…) JP fait tout correct. Je suis capable de voir que c’est tout mon dialogue intérieur qui envenime nos discussions (…)», lance Maripier, suivie de sa coanimatrice qui insiste sur le fait que JP doit toutefois entendre son besoin et percevoir l’aide comme un investissement plutôt qu’une simple dépense.

Marie-Ève bénéficie elle-même d’un soutien et adore cette aide, car elle se sent comme une meilleure mère lorsqu’elle est présente: plus calme, plus à l’écoute et avec l’espace mental nécessaire pour profiter pleinement de ses moments avec les enfants.

Vous reconnaissez-vous dans le vécu et les émotions partagés par ces deux femmes et mamans?

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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