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Marie-Ève Janvier: «J’aime parler aux fantômes»
Crédit: Capture TVA

Saviez-vous que Marie-Ève Janvier croit aux fantômes? C’est bien ce que la chanteuse a raconté à l’animatrice Mélanie Maynard lors de son passage lundi soir à l’émission Sucré Salé. Voilà qui s’avère fort intéressant!

C’est lorsque l’animatrice Mélanie Maynard lui a demandé si elle avait toujours besoin de consulter une voyante pour la rassurer sur son avenir que Marie-Ève Janvier s’est enthousiasmée sur le sujet en évoquant l’idée d’aimer parler aux fantômes.

«Moi, j’aime parler aux fantômes aussi…», laisse tomber la tête d’affiche de la comédie musicale Waitress.

«Et Alex Perron c’est mon ami… il parle aux fantômes!», lance la star qui répond également finalement à la question par l’affirmative, en révélant «consulter une fois par année».

Face à l’étonnement de l’animatrice Mélanie Maynard, toujours très attentive aux propos de ses invités, Marie-Ève s’est alors étendue sur le sujet en expliquant que ces rencontres lui apportent beaucoup de plaisir.

Pour ceux qui qualifient ces expériences de paranormales, on comprend qu’elles peuvent susciter aussi beaucoup de plaisir, comme elles peuvent également être prises très au sérieux. De surcroît, elles ne sont pas rarissimes, mais peu de personnalités publiques osent en parler et du coup briser les tabous.

Ainsi, Marie-Ève Janvier poursuit en expliquant avoir déjà eu un fantôme dans son ancienne maison! Le coup de massue est survenu alors qu’elle se trouvait seule dans sa chambre un soir à la maison, son conjoint Jean-François Breau étant en tournée.

«Je suis un peu peureuse seule le soir», souligne-t-elle.

Elle poursuit en expliquant que durant son sommeil elle a senti une présence au pied de son lit. C’était une entité, un homme décédé. Elle a alors décidé d’en parler à son ami Alex Perron qui aime entrer en contact avec les esprits souvent défunts et qui est pratiquement un spécialiste du paranormal. Sans hésiter, Alex et son ami Sylvain se sont rendus chez Marie-Eve afin de libérer le fantôme!

«J’ai vécu ça… on appelle ça une libération», s’exclame la chanteuse.

«Moi, j’y crois, c’était trop fort… Il est parti dans la lumière, sa mère est venue le chercher», explique-t-elle.

Ensuite elle raconte avoir ressenti un calme profond.

Wow!

Bravo à Marie-Ève de s’exprimer ainsi. Qui sait, elle rendra peut-être service à quelqu’un aux prises avec la même problématique… évitant ainsi de croire à l’hystérie.

Un rôle pour aider les autres

Justement, parlant d’aider les autres, c’est de cette façon qu’elle a parlé de son rôle dans la comédie musicale Waitress, inspirée du film d’Adrienne Shelly, où elle campe le rôle de Jenna, une femme courageuse qui devra trouver la force en elle afin de faire face à l’adversité. La chanteuse et animatrice a déjà pris part, rappelons-le, à d’importantes productions dont, Notre-Dame de Paris et Don Juan. C’est un retour pour elle après 10 ans d’absence, un retour qui a suscité toute une gamme d’émotions.

«Je vis un beau trip de petite fille», confie Marie-Ève qui renoue avec la scène, le chant en plus d’ajouter une corde à son arc en tant que comédienne.

Pour la tête d’affiche, qui est de nature positive, cela aurait pu devenir un défi important d’avoir à jouer un personnage vivant d’importantes difficultés et qui n’est pas toujours dans le positif. Mais, c’est plutôt l’inverse qui s’est produit.

«C’est ce que je préfère», s’exclame-t-elle.

«Le méchant sort… j’évacue.»

Son personnage est une femme qui a dû mette beaucoup de rêve de côté et qui entretien un mariage sans amour, cherchant néanmoins la recette du bonheur en amassant suffisamment d’argent pour fuir son mari, Earl (Jean-François Beaupré).

«C’est une relation toxique», dévoile Marie-Ève qui a réalisé qu’il s’agit d’une dure réalité pour certaines personnes. Ainsi, elle espère que cela permettra des prises de conscience.

«Cette comédie musicale a ce rôle-là», estime-t-elle.

Plusieurs thèmes y sont abordés dont l’amour, l’avortement et le fait d’avoir des rêves.

Facebook Sucré Salé/TVA

Waitress est présentement à l’affiche au Théâtre St-Denis jusqu’au 28 juillet.

La troupe se transportera ensuite à Québec à la Salle Albert-Rousseau à compter du 10 août.

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