Lysandre Nadeau et Claude Bégin se sont récemment envolés pour un somptueux voyage à Bali, une escapade luxueuse qui a pris une tournure encore plus inattendue. Sur un coup de tête, le couple a décidé de prolonger l’aventure en ajoutant une escale surprise à Amsterdam sur le chemin du retour.
Évidemment, les tourtereaux, accompagnés de leur enfant, ont profité de cette escale pour découvrir la capitale des Pays-Bas. Toutefois, certains plans ont dû être modifiés en cours de route, la présence de leur bambin imposant quelques ajustements à leur itinéraire.
Par exemple, Lysandre et Claude souhaitaient visiter le musée de l’érotisme, un lieu réputé pour ses expositions audacieuses comprenant des images, sculptures et objets explicites. Cependant, la nature du musée n’étant évidemment pas adaptée aux tout-petits, ils ont dû renoncer à cette visite!
Le couple s’est également offert une montée d’adrénaline en s’envoyant en l’air (dans un manège), un moment inoubliable que Lysandre a ensuite partagé sur Instagram.
Toutefois, un détail a fait réagir des internautes: l’absence de Blaise sur la photo.
Lysandre a donc répondu qu’ils avaient pris le temps d’analyser la situation avant de décider de laisser Blaise dans l’espace clôturé, sous la surveillance de la responsable du manège. Une décision qu’elle justifie en précisant qu’ils ne sont pas de mauvais parents:
«Durée de l’activité d’environ deux minutes, dans un carré clôturé avec une employée chargée de s’assurer que tout est beau. On est des parents responsables qui ont pris le temps d’évaluer la situation avant de prendre une décision et tout était hyper safe. Et oui, notre fils fait du téléphone en voyage, on n’est pas parfaits. Dans les restos et dans les déplacements (voiture/avion). Ça, c’est à peu près la seule chose qu’on a faite à deux de notre trip. Pour mettre toutes les chances de notre côté, que tout se passe bien, on lui a mis un p’tit film. Give me a break, j’t’à boute!»
Lysandre a conclu en partageant deux autres stories dans lesquelles elle explique avoir confié son enfant à cette inconnue après avoir utilisé son jugement et estimé que la situation était sécuritaire. Elle précise également que ce n’est pas eux qui ont demandé à ce que leur enfant soit surveillé, mais bien la préposée du manège qui a offert le service.
«Ce n’est pas de vos cr*sses d’affaires, je suis brûlée, je vais lancer mon téléphone, vous allez finir par m’avoir mes c*lices (…) je ne suis plus capable, je suis à bout», conclut-elle.
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