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Les nouvelles dragonnes prennent la parole sur les difficultés de leurs prédécesseurs
Crédit: Karine Dufour

Il y a quelques mois, une nouvelle cohorte de dragons s’est manifestée, mais avec les récentes controverses liées aux problèmes financiers de Caroline Néron et de l’entreprise Téo Taxi d’Alexandre Taillefer, aux allégations d’agression sexuelle de Gilbert Rozon ainsi qu’aux problèmes légaux de Martin-Luc Archambault, on avait peu entendu parler de la nouvelle génération de Dans l'œil du dragon.

Diffusée dès mercredi prochain sur ICI Radio-Canada, la huitième saison de l’émission québécoise accueillera la PDG de Bio-K+ International Isabèle Chevalier et la cofondatrice de PRANA Marie-Josée Richer en tant que Dragonnes. Les deux entrepreneures étaient d’ailleurs invitées sur le plateau de Tout le monde en parle pour en jaser avec Guy A. Lepage et Dany Turcotte.

Bien évidemment, les difficultés de leurs prédécesseurs ont été abordées, ce à quoi les deux femmes ont répondu avec un maximum d’objectivité. « L'entrepreneuriat, les affaires, ce n'est pas facile. On parle de ceux pour qui les entreprises ont eu des difficultés et que ça a mal été. Mais en fait, aux Dragons, il y en a beaucoup plus pour qui ça a bien été et qui ont des entreprises florissantes. Cette réalité-là, peut-être que c’est bien qu’on en parle, parce que la vérité, c’est qu’être entrepreneur, être en affaires, ce sont des hauts et des bas, ce n'est pas toujours facile », a souligné Isabèle.

Karine Dufour

Marie-Josée s’est également exprimée à ce propos : « Être entrepreneur, c'est prendre des risques, c'est s'embarquer dans un manège avec des montagnes russes et il y a des moments difficiles où il faut se relever. Je pense que c'est le miroir de ce que la plupart des entrepreneurs vivent. »

Le duo féminin semble incarner une nouvelle philosophie dans le domaine des affaires en prônant des valeurs plus près du cœur que du portefeuille. Les enjeux sociaux et environnementaux sont selon elles des préalables pour l’innovation de nos jours.

Pour revoir leur entrevue en entier, c’est ici!

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