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Les êtres chers – Une histoire de famille
Les êtres chers - Une histoire de famille

Les êtres chers: une histoire de famille.

En se rendant à la première du film Les êtres chers, hier soir, on s’est mis à réfléchir sur le cinéma québécois, sur ce qui en fait un genre particulier, ce qui le distingue.

C’est qu’en regardant la bande-annonce, en voyant ce paquet de jeunes visages, ça nous a rappelé un peu la sortie de C.R.A.Z.Y (2005), celles de Le démantèlement (2013), J’ai tué ma mère (ou même Mommy) et Les invasions barbares (2003).

Les êtres chers - Une histoire de famille

Au Québec, on entretient cette passion pour l’unité familiale, l’intergénérationnel, les secrets de famille, la tendresse, le pardon… mais on le fait, à chaque fois, d’une manière si personnelle et si intime, qu’on n’a jamais affaire au même film.

C’est, en gros, ce que propose Les êtres chers; une incursion au cœur d’une famille québécoise un peu brisée qui vient nous chercher dans les tripes.

Mettant en vedette notre préféré, Maxim Gaudette, et Karelle Tremblay, Les êtres chers nous présente quelques visages connus dont ceux de Louise Turcot et Antoine Desrochers (Camille dans La galère), mais aussi une belle relève.

Les êtres chers - Une histoire de famille

Étaient présents sur la tapis rouge: Suzanne Clément, Podz, Christine Beaulieu (la blonde de Roy Dupuis), Vincent Bilodeau, Jean-Carl Boucher et le BEAUCOUP TROP BEAU Pierre-Luc Lafontaine (Hugo dans La galère).

Les êtres chers - Une histoire de famille

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Crédit photo: Claudie Saulnier

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