Gerry Boulet a marqué la vie de bien des Québécois, dont celle de Dan Bigras, il y a quelques décennies de cela.
Jean-Philippe Dion a profité de la visite du chanteur et comédien au chalet de La vraie nature pour en discuter avec lui, en lui remémorant de bons moments et de belles réalisations avec la légende de la musique québécoise.
« Gerry Boulet m’a organisé un premier 45 tours, qu’il a réalisé. […] Je ne sais pas ce qu’il avait vu en moi. Mais pour moi, ça a été extraordinaire, parce que c’était une espèce de validation que peut-être ça [ma musique] pouvait être intéressant. Quand j’avais 16 ans, on me disait que je chantais comme un gars de 50 ans », a-t-il raconté en rigolant à l’animateur ainsi qu’à ses deux comparses du week-end, la comédienne Anne-Marie Cadieux et la mannequin Ève Salvail.
Puis des souvenirs plus émouvants ont refait surface dans la mémoire de Dan Bigras, dont la maladie de Gerry, qui a un peu tout bouleversé. Jean-Philippe a également mentionné l’album posthume mythique Jézabel de Gerry que Dan a réalisé après sa mort, juste avant de lui faire écouter la dernière chanson de l’opus, Chant de la douleur; ce qui a profondément ému Dan Bigras.
Pour revoir des extraits ou l’intégralité de l’épisode de dimanche soir, c’est juste ici!