Kamala Harris a enflammé le DNC, Chicago et l’Amérique avec un discours aussi percutant qu’émotif.
Dans l’ordre, Harris a d’abord remercié son mari Doug, le président Joe Biden, puis son potentiel VP advenant la victoire en novembre, Tim Walz.
La nouvelle candidate démocrate à la présidence a pris le temps de revenir sur ses origines et sur l’impact de sa mère, une immigrante à l’esprit infatigable.
Revenant sur sa carrière de procureure, Kamala Harris accepte ensuite officiellement la nomination, sous les applaudissements nourris de la foule.
Puis, sans perdre de temps, Harris passe à l’offensive et attaque Donald Trump systématiquement pendant de nombreuses minutes, rappelant plusieurs de ses actions que plusieurs considèrent antidémocratiques, en plus de ses verdicts de culpabilité dans deux procès, un au criminel et un au civil.
L’actuelle VP fonce ensuite dans les sujets plus difficiles, que ce soit la guerre entre Israël et le Hamas, l’immigration illégale à la frontière américaine, la Russie, l’Ukraine, l’Iran et la Corée du Nord.
Puis, dans une conclusion inclusive remplie d’optimisme qui n’est pas sans rappeler l’ère Obama, Kamala Harris attise la fibre américaine et invite les gens à voter en novembre.
Ainsi se conclut la convention démocrate, l’une des plus explosives depuis des années.
Aucune trace toutefois, et encore au moment d’écrire ces lignes, de Beyoncé Knowles, que plusieurs rumeurs (largement lancées par TMZ) plaçaient à Chicago pour clore les festivités…