Ce mercredi, Julie Snyder a reçu Jacynthe René à son émission La semaine des 4 Julie pour discuter de son procès l’opposant au Collège des médecins du Québec. Au lendemain de cette entrevue, Jacynthe René s’est cependant dite « stupeÌfaite, assommeÌe, trahie, humilieÌe et meÌ‚me un peu deÌcourageÌe » dans une publication partagée sur ses réseaux sociaux ce matin.
L’entrepreneuse a par la suite pris la parole sur Facebook dans un direct d’une heure pour réitérer sa version des faits, en plus d’y affirmer qu’elle estime que Julie avait participé, comme plusieurs autres médias avant elle, à une « campagne de salissage » contre elle et son entreprise.
« Vraiment, le feeling que j’ai eu, le sentiment profond que j’ai eu de dégoût, hier, c’était celui d’avoir été violée par une animatrice, par une femme qui devait être solidaire, par une femme d’affaires aussi qui devait […] être solidaire et qui portait mon maquillage gratuitement », a-t-elle notamment déclaré.
C’est seulement quelques heures plus tard que Julie Snyder a finalement émis un commentaire sur l’affaire qui a depuis pris énormément d’ampleur sur la toile.
« L'entrevue d'hier à La semaine des 4 Julie a été une occasion pour Jacynthe René de faire valoir publiquement ses arguments concernant la poursuite dont elle fait l'objet. C'est avec étonnement que nous constatons aujourd'hui qu'elle regrette cette occasion qui lui a été offerte », peut-on d’abord lire dans la déclaration publiée sur la page Facebook de Julie Snyder.
« Je respecte la femme d'affaires et artiste Jacynthe René et j'utilise quelques-uns de ses produits de maquillage. Est-ce une raison pour ne pas lui poser de questions sur son actualité? Jacynthe René est allée en cour la semaine dernière et dans sa préentrevue elle s'est longuement expliquée sur ce qui lui est reproché et rapporté dans divers médias. Elle ne nous a jamais demandé de ne pas adresser cette situation », a par la suite soutenu l’animatrice.
En guise de conclusion, Julie Snyder s’est défendue d’avoir fait preuve d’acharnement en soutenant qu’elle en est « restée aux faits », en plus d’offrir à Jacynthe René « l'occasion de s'expliquer ou de faire amende honorable sur ce que le Collège des médecins lui reproche ».
« Jacynthe René savait que l'entrevue allait porter là-dessus. Si elle prétend le contraire aujourd'hui, cela ne m'appartient pas. »