
Julie-Anne Ho, que vous avez découverte lors d’OD Grèce, était de passage au podcast Entre Elle et Lui en compagnie de sa très bonne amie Maude Lavoie, où elle s’est notamment ouverte sur sa vie amoureuse.
C’est alors qu’elle expliquait qu’il lui arrivait parfois de se demander si, pour se consacrer pleinement à sa vie professionnelle, elle n’avait pas mis de côté sa vie personnelle, qu’elle ajouta que cela fait désormais deux ou trois ans qu’elle est célibataire.
Depuis son entrée dans la trentaine, l’entrepreneuse avoue aussi avoir la sensation que le temps s’écoule à toute vitesse, et qu’elle se trouve à un tournant de sa vie, à la croisée des chemins.
«(…) La trentaine est difficile parce qu’on est comme à la croisée des chemins, que tout se détermine dans les prochaines années. Moi, je veux avoir une famille, je veux avoir des enfants, donc là, je me dis que tout va trop vite (…)», témoigne-t-elle.

L’animatrice et ses invités ont ensuite abordé le fait que la personne avec qui l’on finit par être en couple, reflète souvent le degré auquel on a entamé un processus de guérison personnel.
«(…) Moi, j’ai peut-être trop de limites (…) dans ma vie de tous les jours, ce n’est pas quelque chose qui me travaille, ce n’est pas quelque chose qui me crée de l’anxiété (…)», explique-t-elle, ajoutant que ce n’est pas elle qui est stressée de ne rencontrer personne, mais plutôt sa famille et ses amis, qui sont impatients qu’elle trouve quelqu’un.
«(…) Moi, dans mon petit coeur à moi, je me dis que tout va arriver de façon naturelle, que je ne vais pas nécessairement devoir dater 40 gars pour trouver le mien (…) ça ne me tente pas, je ne suis pas cette personne-là (…)», affirme-t-elle.
Puisqu’elle avait évoqué sa famille, Julie-Anne a raconté qu’elle avait déjà informé ses parents qu’autour de ses 38 ans, elle envisagerait d’avoir des enfants seule.
«(…) Je leur ai dit que si jamais, je me réveille et à 38, 39 ans j’étais seule, bien j’allais faire le processus seule pour avoir des enfants (…)», dévoile celle qui possède une compagnie de sacs.
Sa mère a tenté de la rassurer en lui enlevant la pression d’avoir des enfants, tandis que son père, plus traditionnel, a eu plus de difficultés à accepter, mais a finalement respecté le choix de sa fille.
«(…) Le lendemain (…) il m’a appelé et il m’a dit: Tu vas faire une bonne maman (…)», lance-t-elle très émue.

Quel témoignage touchant, qui met en lumière les enjeux auxquels peuvent être confrontées les personnes cherchant à concilier vie professionnelle et vie personnelle.
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