Jeremy Demay utilise Marilou pour la vente d’un produit et Alexandre Champagne réagit
Vanessa SeguinMardi dernier, l’humoriste Jeremy Demay a publié sur sa page Facebook une vidéo annonçant la vente d’un certain produit en utilisant le nom de Marilou ainsi que sa marque, Trois fois par jour. Il ne va pas sans dire qu’Alexandre Champagne a pris la défense de son ex et ne s’est pas gêné de répondre à Demay.
Pour vendre un produit de Helight Canada (un appareil d’aide au sommeil), sur ses réseaux sociaux, l’humoriste a mis en légende la phrase suivante : « URGENT! Besoin de votre aide! Marilou de Trois fois par jour ne va pas bien! ». Il mentionne d’autant plus dans sa vidéo qu’il est récemment tombé par hasard sur une publication de la chanteuse, disant qu’elle avait des problèmes de sommeil.
C’est suite à cette publication que l’ex-conjoint de Marilou a partagé un message assez clair, sur les réseaux sociaux :
« Faut croire que la pandémie en a ramassé plus d’un, quand t’es obligé d’utiliser une technique cheap et risible pour vendre une cochonnerie à 140$ grâce au succès de quelqu’un d’autre en faisant semblant que son état te tient à cœur. Pis la compagnie endosse ça. C’est à vomir. PS : À tous ceux qui chiale parce que jE dEfEnD mOn eX sUr iNtErnEt, c’est pas la première ni la dernière fois que ça va arriver et il existe une panoplie de manières pour ne pas me voir, ni m’entendre, donc libre à vous de décalicer ».
Le photographe, bien que séparé et nouvellement en amour, a pris bien soin de soutenir la mère de sa fille, Jeanne. Il faut dire que Marilou et Alexandre Champagne ont toujours eu une belle relation et nous sommes enchantés de voir qu’ils continuent à s’épauler dans les temps plus difficiles.
La femme d’affaires et animatrice de l’émission culinaire s’est également prononcée sur la « tentative marketing » ratée de Jeremy Demay : « Bonjour Jeremy! Je te remercie de te soucier, mais comme il s’agit d’une publicité déguisée, je te prierais de retirer la publication puisqu’on utilise mon identité et la marque que j’ai créée, et que je ne l’ai pas autorisée. Merci ».
Nous n’avons pas besoin de vous expliquer que la publication a bel et bien été retirée.