
Jeff Boudreault, candidat pour le Bloc Québécois, était récemment au micro de Sophie Durocher sur les ondes de QUB Radio, où il s’est confié sur son entrée en politique et sur les impacts de celle-ci dans sa vie.
Alors qu’il évoquait l’accueil généralement chaleureux du public lorsqu’il est reconnu, Sophie lui a demandé s’il arrivait parfois que certaines personnes soient en colère contre lui, l’appréciant en tant que comédien, mais désapprouvant le parti pour lequel il se présentait. C’est à ce moment que Jeff Boudreault a partagé une anecdote marquante liée à une telle situation.
«(…) Le 3 mars dernier, quand j’ai annoncé que je prenais position pour un parti politique, là, il y a une ligne qui a été tracée et c’est là que ça a commencé (…)», affirme celui qui précise qu’auparavant, il n’avait jamais vraiment reçu de commentaires haineux.
Ce n’est qu’un peu plus tard dans l’entrevue qu’il a dévoilé avoir été victime d’une menace de mort dans un restaurant rapide.
«(…) J’ai eu une menace de mort, cristi, dans un Tim Hortons, à un moment donné, calmez-vous (…) c’est un débat d’opinion, là, les élections (…)», témoigne-t-il, aussitôt interrompu par une Sophie choquée, qui lui a demandé si cette menace était survenue récemment, pendant la campagne.
Il a expliqué que les événements se sont déroulés après avoir aperçu un groupe de personnes âgées dans le restaurant rapide et s’être approché d’eux, son accompagnateur lui ayant fait remarquer qu’ils semblaient l’avoir reconnu.
Toutefois, il a précisé que la rencontre s’était mal déroulée avec l’un d’entre eux.
«(…) Il y en a un qui ne veut pas me serrer la main, pas de problème (…) je ne force pas personne et là, tu sais, il commence à me parler de toutes sortes de choses, à m’insulter, que le Bloc ça ne sert à rien et ta, ta, ta: Tu t’en vas te chercher un chèque à Ottawa (…)», lance-t-il, expliquant que certains disent ce genre de choses parce qu’ils ne sont pas au courant du fonctionnement réel de la politique.
Jeff aurait alors demandé au monsieur s’il était chasseur, tout en lui faisant remarquer que c’est grâce au Bloc québécois que ce sport est encore légal aujourd’hui.
Ce dernier lui aurait alors lancé une menace: «Si j’avais un gun, je te tirerais, là!»
Il raconte s’être demandé, à ce moment, en apercevant un véhicule de police de l’autre côté de la rue, s’il devait porter plainte contre cet homme. Il a finalement choisi de ne rien faire, estimant que le monsieur avait simplement été maladroit.
En marge de cette conversation, Jeff dénonce le manque de courtoisie de certaines personnes et souligne que, malgré des idéologies politiques différentes, le respect devrait toujours primer.
Et vous, avez-vous ressenti moins d’admiration pour le comédien lors de son annonce en politique?
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