Guy Laliberté reçoit sa sentence

Guy Laliberté, fondateur du Cirque du Soleil, s’était fait prendre alors qu’il aurait agi de manière illégale sur son île privée de Polynésie française, rappelons-le, il y a déjà plusieurs mois, dans une affaire de production de cannabis.

Selon le Journal de Montréal, l’artiste aurait été finalement condamné le 4 juin dernier à une amende de 25 000$ (CAN), pour possession et usage de cannabis.

Malgré que l’utilisation de cannabis soit légale au Canada et que Guy Laliberté en consomme pour des raisons médicales, soit pour soulager des douleurs chroniques, cela reste illégal sur son île privée des Tuamotu, en Polynésie française.

Quelques-uns des chefs d’accusation ont été abandonnés, mais Laliberté demeurait donc toujours coupable pour deux d’entre eux aux yeux de la loi locale.

Selon la même source, un employé des bungalows de luxe construits par Guy Laliberté avait été interpellé à Tahiti pour possession de cannabis alors que des photos d’un conteneur de cannabis avaient été trouvées sur le téléphone cellulaire de celui-ci.

Une production de près de 50 plants de pot auraient été trouvé sur son île.

C’est lors du dévoilement de son plus récent projet d’art que Louis Garneau a décidé de dénoncer le climat toxique qui règne au sein de son entreprise, un peu à la surprise générale.

Des propos rapportés par Le Soleil et Le Journal de Québec, alors que l’entrepreneur a mentionné qu’il était lui-même victime de cette toxicité.

L’entreprise Louis Garneau Sports, qui était sur le bord de la faillite il y a quelques années, est maintenant dirigée en majeure partie par la Corporation Financière Champlain alors que Louis Garneau est un associé minoritaire de l’entreprise.

C’est à la suite de ce changement administratif qu’un climat toxique se serait installé au sein de la compagnie, une situation que Louis Garneau ne souhaite pas tolérer et veut dénoncer, rapporte ce même journal.

S’il n’en dit pas davantage, l’homme d’affaires bien connu des Québécois allègue que plusieurs employés auraient quitté l’entreprise ou seraient désormais en arrêt de travail.

Voilà une situation pour le moins étonnante et alors que les détails se font rares, il sera intéressant de voir comment la compagnie qu’a jadis lui-même fondé Louis Garneau et qui porte encore son nom réagira aux déclarations publiques de ce dernier.

Guy Laliberté reçoit sa sentence

Louis Garneau dénonce un comportement toxique dans son entreprise

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