Guillaume Lemay-Thivierge vient de se mettre une critique de cinéma à dos.
Ce n’est pas toujours facile d’être une personnalité publique! Même les plus appréciées peuvent finir par se mettre un pied dans la bouche avec un commentaire émis à la va-vite et mal interprété… C’est habituellement là que la bisbille pogne!
C’est présentement ce qui se passe avec Guillaume Lemay-Thivierge, qui commence à devenir un pro dans les chicanes rendues publiques.
En entrevue avec Marc Cassivi de La presse pour souligner les 30 ans du film Le matou, l’acteur de Nitro Rush et Les trois p’tits cochons s’est vu forcé de revenir sur certains propos controversés qu’il avait abordés il y a cinq ans: la critique de films québécois.
En gros, il avait alors reproché « à la critique d’être trop dure avec le cinéma québécois ». Cette fois-ci, Guillaume y est allé en renchérissant: « Oui. Je trouve que l’on trouve beaucoup de bonheur à chialer, comme peuple. L’énergie que les gens mettent à descendre un film, notamment sur les réseaux sociaux, est beaucoup plus grande que celle qu’ils mettent à en défendre un autre. »
Tout ce beau discours n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd et la critique de cinéma Helen Faradji s’est permis une courte (non, pour vrai, c’est super long) réponse. Inutile de dire que la madame n’est pas contente: « Au risque de vous surprendre, M. Lemay-Thivierge, le critique est aussi humain et comme tout humain normalement constitué se laissant aller à quelques accès d'impatience, il aurait pu avoir envie de vous répondre, comme l'a fait le héros de Fast&Furious 7 – référence que nous partageons, c'est certain – “man the fuck upâ€. »
Non mais il faut avouer que du style, elle en a à revendre. Elle l’appelle même Guigui quelque part dans son texte (nous aussi on fait ça au bureau)! Bref, qu’on soit Team Guigui ou Team Faradji, tout cela vaut vachement la peine d’être lu.
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Crédit photo: Page Facebook officielle de Guillaume Lemay-Thivierge / À l'infini communication / Summum girl
Source: La presse / Revue 24 Images
