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Gaby Gravel à la rescousse des « tragédies capillaires » en temps de confinement
Crédit: Capture d'écran Ça va bien aller

Like-moi! est mort, vive Like-moi!! C’est ce que nous donne envie de scander Gaby Gravel, le personnage créé par Marc Brunet pour la série parodique, dont la dernière saison est maintenant offerte sur le Club illico avant sa diffusion à l’automne sur Télé-Québec.

C’est que, malgré l’annulation de l’émission, la maquilleuse qui travaille dans une pharmacie de La Prairie incarnée par Florence Longpré nous délecte avec quelques sketchs ici et là depuis le début du confinement. Elle s’est d’abord jointe au mouvement #OnSeProtège pour sensibiliser les jeunes (et les moins jeunes) à l’importance des mesures sanitaires. Cette fois, elle s’est glissée parmi les invités de la nouvelle quotidienne de TVA, Ça va bien aller, pour dénoncer avec toute sa fougue les « tragédies capillaires » que cette période loin des coiffeurs entraîne.

« Tous les jours, j'ai des femmes qui m'arrivent à la pharmacie avec des repousses de féministes, raconte-t-elle. Il est déjà trop tard; tout ce que je peux faire, c'est leur fermer les yeux pis appeler la famille pour dire qu'il n'y avait rien à faire. C'est triste, mais comme que pour le coronavirus, ils ont pas encore trouvé de vaccin pour combattre le t'as-d'l'air-d'un-tas-de-marde. »

Évidemment, en tant qu’employée à temps partiel en pharmacie, Gaby Gravel se considère comme une professionnelle de la santé, ce qui lui permet de répondre à des clients qui s’enquièrent sur le désinfectant à mains. « Penses-tu que j’en chie, du Purell? », lance-t-elle avec sa classe habituelle.

Quelques mouvements de « street dance » et des conseils de maquillage ponctuent aussi cette capsule qui a de quoi mettre bien de la lumière dans cette journée grise. Ben oui, Gaby Gravel est notre p’tit rayon de Soleil!

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