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Clodelle Lemay s’ouvre sur ses troubles alimentaires

Clodelle Lemay s’est presque rendue à la finale d’Occupation Double Dans l’Ouest, mais avant de faire de la téléréalité, elle était également chanteuse et mannequin.

De passage au balado Audré dans l’entrée, l’ex du chanteur Claude Bégin s’est ouverte sur le monde du mannequinat ainsi que sur le trouble alimentaire qu’elle a vécu.

Étant mannequin à temps plein depuis 15 ans, Clodelle a affirmé que ce domaine lui avait amené une grande ouverture d’esprit, mais que malheureusement, il y avait plus de points négatifs.

«Je ne vais pas mentir, c’est un métier très demandant. Il faut tout le temps que tu fit dans un moule. Ce n’est pas les vêtements qui vont fitter la mannequin, c’est la mannequin qui doit fitter dans les vêtements, donc tu es constamment sous pression d’être très maigre. Il faut que tu sois très disciplinée, c’est vraiment un peu comme être un athlète dans un certain sens (…). C’est beaucoup de pression, autant que c’est le fun et que c’est enrichissant et que tu apprends plein de choses, mais ton plaisir est souvent mis de côté (…). Moi, avec le temps, sous pression, j’étais beaucoup plus jeune, j’étais très en demande, j’avais une grosse carrière et I was struggling avec le fait de toujours rester une image parfaite. J’ai développé de la boulimie assez jeune, de l’anorexie, c’était vraiment sous pression à cause du métier, et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai arrêté», racontait Clodelle en s’ouvrant sur le milieu du mannequinat.

Elle a continué en disant qu’elle est contente de revenir dans le métier maintenant âgée de 30 ans et qu’elle a envie de développer une relation saine avec le mannequinat pour guérir quelque chose à l’intérieur d’elle.

«J’avais besoin de me retrouver, de me poser certaines questions: Qu’est-ce que je veux dans la vie? Et comment je veux être dans mon corps ? Ça m’a vraiment fait du bien de prendre une pause, mais je suis contente de recommencer. Je trouve qu’à 30 ans, c’est un bel âge, je me connais maintenant, je connais mes limites. J’ai guéri ce côté-là de moi qui avait des troubles alimentaires et même quand j’ai arrêté, j’ai viré de l’autre bord des troubles alimentaires dans le sens que j’ai commencé à beaucoup manger, mais je pense que ça m’a vraiment fait du bien, j’avais besoin de ça», continue-t-elle en expliquant ce qui l’a amenée à reprendre ce métier, maintenant plus âgée.

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