Entre quelques jeux, de nombreux fous rires et des prestations, des confidences se sont glissées dans la soirée. Pier-Luc et Christine ont partagé un tête-à-tête, durant lequel la comédienne s’est ouverte sur son indépendance… et sur sa relation avec Roy Dupuis.
Tout d’abord, Pier-Luc a lancé la conversation en confiant à Christine que son impression d’elle était celle d’une femme très indépendante, avant de lui demander si cette perception était juste.
«(…) J’ai été une personne très indépendante, en effet, donc je dirais de base oui. Mais à un moment donné, je me suis tannée et je me suis rendu compte qu’en étant tellement indépendante, bien je ne me disposais pas pour entrer dans une vraie relation amoureuse. C’est comme si, à un moment donné, j’ai compris: Je ne peux pas être dans une vraie relation amoureuse si je n’ai jamais besoin de l’autre. Pour être vraiment dans une vraie relation amoureuse passionnelle, il faut que tu admettes que tu es en partie dépendante de l’autre. Mais c’était super dur pour moi d’accepter ça», s’ouvre-t-elle.
Au fil de la discussion, Pier-Luc lui a demandé si, avec le temps, elle avait appris… et si elle était rendue bonne.
«(…) Je me suis améliorée (…)», soutient-elle, affirmant être en couple depuis 11 ans avec Roy, suite à une question sur la durée de leur relation.
L’animateur de la discussion a alors soulevé qu’il devait désormais y avoir un certain abandon.
«(…) Là, je m’abandonne vraiment (…)», témoigne Christine, ajoutant qu’elle a appris avec lui et qu’il a été présent à chaque étape de son cheminement.
«(…) C’est le premier avec qui je fais vraiment ça (…)», ajoute la comédienne.
Toutefois, Pier-Luc a souligné qu’elle conservait tout de même son côté indépendant, en rappelant qu’elle et Roy Dupuis n’habitent toujours pas ensemble, et qu’elle aime payer son hypothèque et garder son chez-soi.
«(…) On n’a pas d’enfants non plus, donc peut-être que c’est différent (…) Mon amoureux, c’est un gars de campagne, et tu sais, moi, toujours à la campagne, j’adore la campagne là, mais faire de la route à tous les matins, tous les soirs pour aller travailler… pfff, je trouve ça…», explique-t-elle, suivie de Pier-Luc, qui en a donc conclu que c’était aussi, en partie, une question de praticité.
Il a ensuite abordé le fait que Christine aime ce qui est quétaine, et lui a demandé si, en amour, elle l’était aussi.
«(…) Bien j’espère (…)», affirme-t-elle, ajoutant que ça la gosse quand les gens veulent absolument paraître cool, et que, selon elle, il faut se foutre de ce que les autres pensent et simplement assumer ce qui nous fait du bien.
Un bel échange au cours duquel Christine s’est ouverte sur sa vie privée comme elle le fait rarement.
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