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Bruno Marcil: «Ma mère souffrait d’une forme de schizophrénie, elle a presque été dans la rue»
Crédit Serge Cloutier/Capture QUB

Bruno Marcil était de passage au micro de l’animatrice Isabelle Perron sur QUB pour aborder la dure réalité de l’itinérance, un sujet qui lui tient particulièrement à cœur en tant que porte-parole de l’organisme Pas de la rue.

Actuellement à l’affiche de la quotidienne STAT, le comédien est d’autant plus légitime dans ce rôle, ayant lui-même été confronté à cette réalité.

«(…) J’ai connu un petit peu ce genre de situation. Ma mère souffrait d’une forme de schizophrénie, elle a presque été dans la rue (…)», s’ouvre-t-il.

Capture QUB

«(…) C’est très, très, très, compliqué d’aider quelqu’un qui a une maladie mentale, parce que rarement les personnes veulent du soutien. Souvent, c’est les autres qui ont un problème», témoigne Bruno de la complexité de la situation.

L’animatrice lui a ensuite demandé comment ils avaient réussi à se sortir de cette situation.

Il s’est alors mis à rire et a affirmé qu’il s’agissait d’une bonne question, laissant entendre que la situation est loin d’être totalement réglée.

«(…) C’est sûr que c’est compliqué (…) ma mère était à une époque où il n’y avait pas de soutien tant que ça (…)», s’ouvre-t-il, ajoutant qu’à ce moment le sujet n’était abordé que très peu.

Il soutient qu’aujourd’hui, il existe davantage d’outils pour s’en sortir, mais reconnaît que le chemin reste encore très difficile pour ceux qui vivent cette réalité.

Pour faire un don et soutenir l’organisme Pas de la rue, c’est par ici!

Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.

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