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Ce livre est en quelque sorte un hommage à sa mère.
La plume de Boucar Diouf est l'une des plus connues au Québec et dans la Francophonie. L'auteur, qui est aussi biologiste, humoriste ainsi qu'animateur de radio et de télévision, a écrit de nombreux best-sellers et tient une chronique fréquente à La Presse. Le 15 septembre prochain, l'auteur publiera un tout nouveau livre qui se veut un hommage à sa mère qui est décédée en 2021.
Portant le titre Ce que la vie doit à la mort: quand la matriarche de famille tire sa révérence, ce nouvel ouvrage de Boucar Diouf cherche en quelque sorte à trouver un sens après le départ d'un être cher.
«C'est pour me relever de sa disparition que j'ai écrit ce modeste bouquin», explique l'auteur.
Le livre est aussi un hommage aux matriarches qui vivent en nous et à la vie avec un grand V. Boucar Diouf s'inspire aussi de sa formation comme biologiste pour tracer un doux parallèle avec les matriarches d'éléphants, comme l'extrait suivant le démontre:
«Comme chez les éléphants, la matriarche humaine est le pilier central de la famille ; c'est celle qui préfère la parole qui rassemble aux mots qui divisent ; c'est l'aiguille qui rapièce les déchirures familiales. La matriarche, c'est la maman ou la grand-maman sans qui, une fois partie, rien ne sera plus comme avant ; la personne dont le décès provoque turbulence et éparpillement.»
Ça promet d'être un livre touchant et très intéressant!
L'ouvrage est illustré par Philippe Béha et sera disponible en librairie dès le 15 septembre prochain.