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Annie-Soleil Proteau se confie sur sa relation à distance durant le confinement
Crédit: Serge Cloutier

Ça fait sept ans qu’Annie-Soleil Proteau partage sa vie avec l’homme politique Pascal Bérubé, mais contrairement à bien des couples, ces amoureux n’ont pas pu passer le confinement ensemble sous un même toit. C’est que la chroniqueuse habite Montréal, alors que son conjoint vit à Matane, où il est député depuis plus d’une décennie, et que les mesures de santé publique impliquaient de limiter les déplacements non essentiels entre les régions. Après avoir passé près de trois moins loin de son Jules, Annie-Soleil s’est confiée au magazine 7 Jours sur leur amour qui n’a pas dérougi avec la pandémie.

Voulant prêcher par l’exemple, il n’était pas question pour le couple de ne pas respecter les réglementations gouvernementales, c’est pourquoi les tourtereaux ne se sont vus que le temps d’un week-end, au début du mois de juin, alors que le chef intérimaire du Parti québécois devait se rendre dans la métropole pour le travail. « Je me demandais s'il y aurait des ponts à reconstruire, étant donné que nous n'avions pas eu de contact physique depuis trois mois. Finalement, non, ça a repris comme avant le 9 mars », a confié l’animatrice au magazine au sujet de leurs retrouvailles.

Heureusement pour Annie-Soleil et Pascal, ils ont plutôt bien vécu la distance. « Je dirais que j'ai la chance d'être quelqu'un qui ne s'ennuie pas beaucoup dans la vie. […] Mais c'est sûr que j'avais hâte de voir mon chum! », a-t-elle expliqué avant de préciser qu’ils ont gardé le contact entre autres en se parlant au téléphone plusieurs fois par jour, chose qu’ils continuent de faire. « Nous avons eu la chance de pouvoir continuer à travailler. Sinon, nous aurions probablement trouvé le temps long! », a-t-elle ajouté.

En plus de son couple, Annie-Soleil a aussi abordé sa jeunesse rock ‘n’ roll. Après en avoir fait voir de toutes les couleurs à ses parents durant son adolescence, ils lui ont rendu la pareille en l’inquiétant durant le confinement! « J'ai commencé à sortir dans les bars à 13 ans avec des fausses cartes, a-t-elle admis. J'aimais faire la fête. […] Je pouvais rentrer à la maison à 4h du matin. J'avais un grand besoin de liberté, de m'émanciper. Mes parents en ont beaucoup fait les frais; ils se sont notamment beaucoup inquiétés. »

Tout ça est un bon rappel que, malgré le déconfinement et la situation sous contrôle au Québec, le virus rôde toujours et la prudence (tout comme les masques) est de mise.

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