Il ne lui manquerait que des barreaux et on s’attendrait à ce que Luke Luke arrive dans le portrait et le fasse croupir dans un coin noir à jamais… Mais non, avec la couverture de sa nouvelle autobiographie-mémoire, American Outlaw, Jesse James prend les traits d’un truand du 19e siècle comme s’il voulait nous faire croire que le pire était derrière lui… que sa réputation de bad ass était présente seulement dans son livre.
« J’ai eu une vie plutôt folle! Ma vie s’est définie par tant de choses et pas seulement par les événements de la dernière année. Je voulais simplement que mon mémoire soit une belle histoire, une histoire dont on ne puisse arrêter de continuer à lire et j’espère que les gens vont voir tout cela! »
En tout cas, les gens seront définitivement curieux par son livre, qui sortira le 3 mai… même si, on doit l’avouer, c’est du n’importe quoi!