
Invitée au balado La vie sociale, Alicia Moffet s’est confiée avec franchise sur son parcours, autant personnel que professionnel, revenant entre autres sur son évolution des dernières années et son expérience à la barre d’Occupation Double.
C’est en évoquant le stress ressenti lors de sa première édition à titre d’animatrice de la téléréalité qu’Alicia a affirmé que son expérience est aujourd’hui beaucoup plus positive qu’à ses débuts.
«Ça se passe bien, heureusement (…) On est sur notre troisième année d’OD (…) Ça se passe super bien, mais la première année, c’était un véritable cauchemar dans ma tête. Moi, j’ai fait un black-out et je n’ai pas aimé ça. Je n’ai pas eu de fun à OD la première année, zéro pour cent (…) J’étais tellement dans la performance, dans le stress et dans la pression (…)», lance-t-elle en abordant les nombreux commentaires réclamant le retour de Jay Du Temple.

«(…) Je comprends, là. Il était fucking bon, je suis avec vous (…) Je trouve que j’ai commencé à être bonne quand j’ai commencé à… enlever le bâton de mon c*l un peu (…)», témoigne-t-elle, en affirmant que le mot d’ordre pour la deuxième année était tout simplement de prendre plaisir à l’expérience.
Alicia raconte qu’elle et Fred regardent parfois des photos de leurs débuts et se demandent ce que la production a bien pu voir en eux à l’époque.
«Moi, je parle trop vite, je n’articule pas. Ça, ça n’a pas changé, par exemple (…)», lance-t-elle avec autodérision.
En fin d’épisode, l’animateur a demandé à Alicia ce qui avait été le plus gros défi d’animer avec son partenaire de vie.
«(…) Ce qui est spécial de notre relation, c’est qu’on a beaucoup plus d’enjeux en dehors d’OD (…) Quand on va à OD, c’est comme si on se recolle (…) OD nous a vraiment aidés dans nos enjeux de couple (…) En même temps, on a le goût de se gunner à la fin d’OD parce que, pour de vrai, c’est vraiment difficile (…) À OD, le plus gros challenge, c’était… je pense de se faire confiance, parce qu’on ne se faisait pas confiance pour de vrai, et à un moment donné, on ne se faisait tellement pas confiance qu’on se tapait sur la tête l’un et l’autre (…)», explique-t-elle, en ajoutant qu’ils se comparaient constamment, jusqu’à comprendre qu’ils étaient plus à l’aise lorsqu’ils animaient séparément.
«(…) On trouve qu’on prend mieux notre place comme ça, et les moments où on est ensemble ont plus d’impact aussi (…)», lance-t-elle pour expliquer pourquoi ils animent moins côte à côte qu’au début.

Un beau défi de couple, qu’ils ont su ajuster au fil du temps.
Nous leur souhaitons une excellente troisième édition!
Ce contenu a été créé avec l’aide de l’IA.