Martin Vachon était de passage au balado Ouvre ton jeu, animé par l’incroyable Marie-Claude Barrette. Un moment propice aux confidences et aux conversations profondes, où ils ont pu aborder des sujets variés et intéressants.
C’est suite à une question lui demandant quelle personne a fait une différence dans sa vie que Martin, avec émotions, s’est ouvert sur son enfance et sa relation avec son grand-père.
«(…) Je ne sais pas pourquoi, l’image qui m’est venue instinctivement dans ma tête c’est mon grand-père (…)», a-t-il affirmé après avoir pris un petit temps de réflexion.
Il a ensuite expliqué qu’il ne savait pas pourquoi son grand-père était la première personne qui lui venait à l’esprit, mais qu’il allait tenter de le découvrir avec l’animatrice.
Une exploration personnelle qui promettait d’être touchante et révélatrice…
«(…) Mes grands-parents (…) ils ont habité sur ma rue (…) donc ils ont toujours été super importants. (…) Mon grand-père Raymond a toujours été un synonyme pour moi d’un homme droit, de valeurs. Il a eu huit enfants, il a travaillé pour le Canadien Pacifique toute sa vie, il a été vraiment travaillant, mais c’était vraiment un homme bon (…)», décrit Martin, ayant visiblement énormément d’admiration pour l’homme qui a joué un grand rôle dans sa vie.
L’humoriste a ensuite partagé que son grand-père avait toujours rêvé de faire du théâtre, une passion que Martin pense avoir héritée de lui.
«Ah, cette fibre-là viens-tu de lui, ce petit côté-là que j’ai?»
Après avoir décrit son grand-père, Martin a enchaîné en parlant de sa grand-mère et a évoqué ses souvenirs avec elle.
«(…) Ma grand-mère Rachelle, on jouait aux cartes, elle nous aimait tellement (…) elle nous aimait tellement (…) je réalise qu’il a des personnages dans mes spectacles qui gardent le nom de Raymond, Rachelle, juste parce que je ne veux pas que… ayoye…», lance-t-il, pogné au coeur par l’émotion.
«(…) Je ne sais pas pourquoi ça me touche… je ne veux pas les oublier… on dirait… je ne sais pas pourquoi… je les ai vraiment aimés beaucoup (…)», continue-t-il, les larmes aux yeux.
«(…) Ç’a été un peu chaotique mon enfance avec mes parents et mes grands-parents étaient synonymes de stabilité, de… de quelque chose de sain, de quelque chose de… de beau et j’ai toujours aimé beaucoup mes grands-parents, c’est que de l’amour, ces larmes-là c’est… je leur parle tous les soirs (…)», confie-t-il.
Trouvant ce passage visiblement très touchant, Marie-Claude a demandé à son invité ce qu’il dit à ses grands-parents.
«(…) Je les remercie et moi tous les soirs je remercie la vie pour la chance que j’ai d’être en santé et que mes enfants soient en santé et je suis vraiment dans la reconnaissance (…)», lance-t-il, expliquant ainsi comment ce moment l’aide à prendre du recul face aux défis de la vie.
«(…) Mes grands-parents, je réalise que c’est eux mes anges gardiens. Hey et c’est gros ce que je vais dire mais… ma mère est décédée pendant la pandémie (…) et je remercie tout le temps mes grands-parents avant ma mère et je l’aime ma mère, mais c’est mes grands-parents. Quand je m’en vais sur scène, je veux que mon grand-père soit avec moi. Oui, je veux rendre fière ma mère et je sais qu’elle aimait voir son petit gars faire ce métier-là (…) mes grands-parents (…) c’est l’image que j’ai de quelqu’un qui veillent sur moi sur cette terre», lance-t-il.
«(…) C’était des bonnes personnes, c’était des personnes de coeur (…) », affirme Martin, racontant posséder de leurs choses chez lui, qu’il ne peut se départir.
Martin affirme d’ailleurs qu’il est essentiel de profiter du temps que l’on a avec nos grands-parents.
Un touchant témoignage de Martin qui prouve que l’éducation d’un enfant peut provenir de plusieurs membres de la famille.
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