Aller au contenu
Véronique Cloutier: «Il faut faire la paix avec ce qu’on est»

Véronique Cloutier se trouvait en compagnie de quatre personnalités à qui elle a accordé une petite entrevue dans l’émission Pour une fois. C’est avec vulnérabilité qu’elle s’est confiée sur plusieurs aspects de sa vie!

Celle qui nous divertit depuis de nombreuses années s’est notamment confiée sur ses enfants, mais aussi sur sa richesse.

Bien que Véro ait essayé de balancer sa vie entre la famille et le travail autant que possible, elle confiait, lors de son entrevue avec Geneviève Guilbault, ne pas avoir toujours eu l’impression d’être une bonne mère, ce qui peut entraîner des regrets. Rappelons qu’elle et son mari, Louis Morissette, ont trois grands enfants ensemble.

«Je pense que c’est parce qu’à un moment donné, il faut faire la paix avec ce qu’on est. Il y a des moments où j’avais l’impression que j’étais moins une bonne mère. Puis d’autres moments où j’avais l’impression que j’étais moins sur mon X au travail, parce que là, j’étais préoccupée par des trucs à la maison. Mais à la fin de l’année, à la fin d’une vie, admettons pour le projeter plus loin, je pense que je vais trouver que j’ai fait une pas pire job dans les deux (…)», confie Véro sur l’équilibre qu’elle a su et continue de bien gérer dans son quotidien.

Capture Télé-Québec

Ce n’est pas tout puisque la star a aussi abordé la question de l’argent dans le cadre, cette fois, d’un tête-à-tête avec Nathalie Petrowski, qui a voulu savoir ce qu’elle vendait aux gens, à son public qui l’adore.

Pour reprendre une partie des mots de la critique et journaliste, Véro a un horaire de premier ministre, un coiffeur, un styliste, elle utilise la location d’avion privé, une vie qui, au final, n’a pas de lien avec la plupart des messieurs et mesdames tout le monde.

«Est-ce que c’est du rêve que tu leur vends? (…)», veut savoir Petrowski.

Capture Télé-Québec

«Non, si je voulais vendre du rêve, je mettrais plus l’accent sur cet espèce de luxe-là dans lequel je vis. Moi, au contraire, je ne veux pas écœurer le monde avec ça. Mais en même temps, oui, je vis dans un certain luxe, mais pour vrai, ce n’est pas autant que ce que le monde pense. Puis souvent, je le dis à mon mari… Je trouve qu’on est chanceux parce qu’on élève nos enfants dans le confort, ils ne manquent d’absolument rien, mais ils ne sont pas déconnectés», témoigne Véro en ajoutant qu’elle a, oui, une femme de ménage, mais qu’elle fait des tâches normales au quotidien et qu’elle n’a pas toujours quelqu’un chez elle pour l’aider à tout faire.

Elle ajoute que le luxe et les moyens financiers dans lesquels elle vit n’ont pas empêché les épreuves qu’elle a vécues au fil du temps!

Capture Télé-Québec

Véro termine en mentionnant qu’elle ne vend pas du rêve, mais bien du divertissement; des moments légers pour le grand public!

Plus de contenu