Des participants difficiles à trouver à Si on s’aimait encore: Louise Sigouin explique pourquoi
Marie-Josée R. RoyLa direction de TVA n’a pas encore statué sur le sort de Si on s’aimait et Si on s’aimait encore. Les deux émissions reviendront-elles à l’antenne à l’automne ou l’an prochain? Rien n’est confirmé pour l’instant.
L’an dernier, la production – chapeautée par la boîte Duo Productions, d’Anne Boyer et Michel D’Astous – avait eu un peu de difficulté à recruter des couples intéressés à participer à Si on s’aimait encore. Non pas parce que le concept est inintéressant, précise Louise Sigouin, experte en accompagnement relationnel au cœur du rendez-vous, en entretien avec Hollywood PQ. Ce sont plutôt des questions d’horaires qui compliquent un brin l’organisation.
«Avec les couples, ce qui ne rend pas la tâche facile, c’est qu’on mobilise deux personnes dans une même famille. C’est plus de gestion avec le travail, les enfants, les gardiennes, pour la disponibilité. Ça n’aide pas à la sélection.»
«Aussi, on en était à nos premières saisons. C’était aussi le cas pour Si on s’aimait; au début, les gens sont un peu plus observateurs. Jusqu’à ce qu’ils aient le coup de cœur pour venir nous rejoindre et s’inscrire!», continue Louise Sigouin.
Louise Sigouin a-t-elle, elle-même, son mot à dire sur le choix des candidats de Si on s’aimait et Si on s’aimait encore?
«Non. Moi, j’accueille le participant de la même façon que j’accueille un client dans mon bureau, c’est-à-dire que je n’ai pas d’informations, afin que ça soit le plus naturel possible».