
En janvier 2018, quelques mois après le mouvement #MeToo, District 31 présentait une histoire de violence conjugale. Une femme accusait son partenaire de l'avoir battue, ce qu'il niait en assurant qu'elle s'était infligé ses blessures elle-même pour lui nuire. Alors que des milliers de voix s'élevaient pour dire que les fausses dénonciations sont rarissimes, l'auteur en a mis une dans son intrigue; des vidéos de surveillance avaient en effet finalement donné raison à l'homme dans la série policière.
La réaction de l'auteur

Propager de mauvaises informations

La suite?

Banaliser la violence conjugale

Des excuses

Les préjugés envers les musulmans

Une blague raciste

La réponse de Luc Dionne

La réponse offerte
